1. 10 - L'un dans l'autre !


    Datte: 23/06/2021, Catégories: hh, hhh, grossexe, bain, campagne, Oral hdanus, hsodo, jouet,

    ... oui, vas-y, empale-toi jusqu’aux couilles, descends sur ma colonne, encore plus, oui ! Comme un pantin, je le pompe du cul en me plantant sur son poteau à chaque ondulation de mon bassin. Lorsque j’en suis à toucher son ventre, il m’assène un coup de rein à faire sauter ma queue pendante et mes lourdes burnes, et déclenche une montée de sève par la même occasion. L’air pénètre mes poumons pour mieux permettre à mon cerveau de synthétiser et libérer toutes les drogues naturelles dans mon organisme. — Je sens que je vais bientôt jouir, baise-moi bien profond, encule-moi pour de bon ! Sa queue me calibre grave, et une sourde pression envahit mon ventre. Ma tête ballote dans tous les sens, ivre de toutes les infos qu’elle doit gérer à la seconde. Mon cul n’est plus qu’un nid de capteurs sensoriels raccordés à Oscar, totalement asservi à ses caprices, ses facéties, et telle une main serrée, se referme autour de lui dans une série de spasmes. — Oui, ton cul m’aspire, oui, pompe-moi le dard, je vais bientôt me vider en toi, n’arrête surtout pas, je me vide dans ton cul ! Ces mots sont les derniers signaux que je suis à même d’interpréter avec raison. Tel un coup de batte de baseball, une violente secousse me broie les reins et le ventre, le sphincter se tétanise autour d’Oscar, et des jets de sperme fusent de ma verge pourtant flexible. Sa puissante queue gonfle à l’intérieur de mon rectum et je la sens pulser son précieux foutre tout au fond de mon trou. Ses couilles et ...
    ... l’intérieur de ses cuisses reçoivent ma semence alors qu’à chaque décharge de mon amant, j’ai l’impression qu’il me remplit le ventre de sa crème, presque au point d’en sentir le goût en bouche. Cet orgasme ravageur est le premier de ma vie d’une telle intensité, représentant l’union parfaite d’une bite et de son cul. C’est le deuxième que je vis avec Hervé, merveilleux amant au puissant sexe. Mon anus reste contracté autour de son sexe encore de longues minutes après que nous avons joui lui faisant subir un véritable Pénis Captivus. Je gis sur lui, plus que je ne suis allongé, mortifié, transporté. À demi-mot, je le remercie pour ce sprint et cette partie de baise, lui confiant que j’étais bien, là, sa grosse bite débandant au fond de mon cul. Il nous faut un bon quart d’heure pour envisager de se séparer. À peine sa longue verge molle sortie de mon séant, son foutre s’écoule de mon rectum, je fonce sous la douche. En contractant mon bas-ventre, une impressionnante quantité de semence liquéfiée coule le long de mes jambes : il a bien déchargé, pas de doute ! Une bonne douche nous retape, suivie d’un repas frugal, nus, détendus et sereins. Assis au bord de sa chaise, les larges bourses sacoches à foutre et Oscar pendant démesurément s’exposent devant mes yeux. Voyant la fixité de mon regard, Hervé me demande si je n’en voudrais pas encore un morceau ! Je décline l’offre pour l’instant, et lui propose soit de le ramener, soit de dormir ici. C’est la deuxième solution qu’il adopte. ...
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