Les vacances d'Aurélie - Histoires de Sexe

Les vacances d'Aurélie

... êtes-vous retrouvés ? Tu m’as dit au téléphone que tu étais chez les amis de ta tante.— Euh… Oui.— Alors tu as fait venir quelqu’un chez eux… pendant qu’ils n’étaient pas là ! C’est gonflé !— Non ! Je ne ferais jamais une chose pareille.— Alors… ?— Eh bien… C’est Bernard, l’ami de ma tante.— Tu es en train de me dire que celui qui t’a fait grimper au rideau c’est l’ami de ta tante ! Et sa femme ?— Elle n’est pas là.— Mais, il a au moins l’âge d’être ton père.— Oui et après ?— Et tu te laisses draguer par un vieux ?— À vrai dire ce n’est pas vraiment lui qui m’a draguée. C’est plutôt moi. Aurélie se confie, ne cachant plus à son amie son rôle moteur dans cette aventure. — Pendant qu’on discutait alors qu’il soignait des égratignures que j’avais dans le dos à cause de deux gamins qui m’avaient lâché une branche dans le dos, il m’a dit qu’il avait soigné de nombreux bobos de son fils et de sa femme et qu’il avait même fait des palpations mammaires à cette dernière qui a eu plusieurs fois des kystes aux seins. En entendant cela je lui ai demandé de m’en faire une…— Oui je sais depuis que ta copine de lycée s’est fait opérer, c’est devenu une inquiétude chez toi, presque une obsession.— On n’est jamais trop prudente. Il vaut mieux…— Oui je sais. Allez, continue.— Eh bien, après qu’il m’eut rassurée, sur ma lancée, je lui ai demandé de regarder une grosseur que j’avais en haut de la cuisse à l’aine.— Tu lui as demandé de regarder là !— Quand l’idée m’est venue, j’ai hésité, mais ...

... bon, ça m’évitait de me faire du souci.— Tu aurais pu aller voir un médecin.— C’est vrai. Je ne lui aurais pas demandé de but en blanc, mais comme on était déjà dans les bobos. Ça l’a surpris, mais il a regardé. Ce n’était qu’une racine de poil qui s’était infectée. Il l’a soignée. Je dois t’avouer que de le sentir me toucher dans cette zone sensible m’a échauffée. J’ai eu envie qu’il me caresse. Je lui ai demandé s’il voulait bien s’occuper d’un autre bouton. Il m’a demandé où. J’ai pris sa main, je l’ai conduite sur mon clito et je l’ai supplié de me caresser…— Tu l’as supplié !— Oui et il a fini par le faire. Aurélie, sur sa lancée, narre par le menu à son amie ébahie la suite de la soirée et conclut qu’elle a prétexté une indisposition pour ne pas accompagner sa famille en Suisse pour le retrouver. Elle enchaîne sur le récit de la veille et conclut : — Il voulait que j’aille loger chez ma tante. Heureusement celle-ci est partie en week-end prolongé et ne rentre que dimanche dans la nuit. Ce soir je le convaincrai de rester jusqu’au retour des parents.— Cette histoire n’a pas d’avenir.— Je le sais bien, mais prendre du plaisir avec un homme délicat, même si c’est pour peu de temps, autant en profiter.— Eh bien ! je ne te reconnais plus. Toi que j’ai toujours connue romantique pensant au grand amour éternel.— Mathieu s’est chargé de me mettre un peu les pieds sur terre. J’y crois toujours, mais, en attendant, il faut profiter du moment présent.— Tu as vraiment changé, mais tu ...