1. Je m'exhibe avec plaisir


    Datte: 24/06/2021, Catégories: fh, couple, inconnu, fépilée, vacances, plage, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio,

    Chaque fois que je me rappelle la première fois où je me suis dévoilée à un inconnu, je suis toujours dans un état de fébrilité érotique intense. J’ai découvert que le fait d’étaler mes charmes est hautement jouissif, surtout que je suis encouragée par mon amour. Il est vrai qu’il en retire les bénéfices car, après, je suis toujours disponible pour des parties de jambes en l’air endiablées. Aussi chaque fois que l’occasion se présente, je n’hésite pas : j’expose mon anatomie à ceux qui sont présents. Retour de la plage Une fin d’après-midi que nous avons passée sur une plage naturiste, je dis à Bernard que j’irais bien me désaltérer à une terrasse de café. Nous nous rhabillons, exercice aisé pour moi puisque je n’ai qu’une petite robe à bretelles à enfiler ; j’en profite pour me tourner face à mes « admirateurs » potentiels, je me frotte le corps, afin de faire tomber le sable collé à ma peau. Ensuite, je passe ma robe par-dessus la tête, sans avoir mis la moindre petite culotte, et nous partons en direction du parking où nous avons garé la voiture. Pendant que je me baisse pour ranger les affaires dans le coffre de notre monospace, Bernard se permet de me passer une main sous la robe et de me caresser les fesses, puis il passe entre mes cuisses et remonte vers ma vallée secrète que je sens toute humide. Il tente de rendre sa caresse plus appuyée, mais je lui dis : — Non, pas maintenant, j’ai trop soif. Galamment, il m’ouvre la porte de la voiture et pendant que je monte, il ...
    ... mate mes cuisses qui sont largement découvertes à sa vue, du fait de la hauteur de la voiture. Pendant le trajet, dès que le tracé de la route le permet, il reprend ses caresses ; je ne le repousse pas, j’écarte même les cuisses pour lui donner libre accès à mon petit minou tout chaud aux lèvres toutes lisses. Arrivés en ville, il gare la voiture sur un parking. Quand je descends, je m’aperçois que nous sommes à côté d’un cabriolet occupé par deux hommes. Je suis sûre qu’ils ont eu une vue imprenable sur mes cuisses et peut-être même plus haut, car ma robe est restée accrochée au siège, lorsque je suis sortie. Sur le chemin vers le café, je dis à mon chéri : — Je crois que les deux hommes qui étaient assis dans le cabriolet, à côté, ont eu une belle vue sur mes cuisses et peut-être même plus.— Heureux hommes, ils ont eu un spectacle inoubliable. À la terrasse, nous choisissons une table ensoleillée ; avant d’avoir pu commander, je donne un coup de coude à mon mari et lui désigne discrètement deux hommes qui se dirigent vers le café : — Ce sont les occupants du cabriolet. Je pense qu’ils nous ont suivis car ils prennent place à une table pas très loin de nous, l’un en face de l’autre. Bernard me dit : — Je crois que tu as des admirateurs, ne les déçois pas. Le garçon vient prendre la commande. J’amorce alors une série lente de croisements-décroisements de jambes qui a pour effet de faire remonter ma robe haut sur mes cuisses. À partir de ce moment-là, et malgré ses lunettes de ...
«1234...15»