1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 557)


    Datte: 24/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... passent, 10 minutes un quart d'heure, jusqu'à ce que j'entende une voiture arriver lentement et s’arrêter à l’entrée dans l'impasse. Puis deux portes qui claquent et des bruits de pas, ils s'approchent, mon cœur bat la chamade. - Ne te retourne pas, reste comme ça comme une bonne chienne soumise. - Oui, Maître - Qui t’a autorisé à parler ?... A partir de maintenant, tu parles quand je te pose une question. Je t'ai pas posé de question alors tu te tais et tu obéis ! Ou alors tu repars tout de suite et tu ne reviendras jamais et tu oublies pourquoi tu es venu ici Je ne réponds rien et je bande encore plus mais je ne bouge pas pour bien monté que je suis bien décidé à rester. L’homme me touche les fesses et la bite par-dessus mon pantalon : mon premier contact avec un homme. - En plus, tu bandes comme un salaud, Monsieur le Marquis avait encore raison, tu dois être une sacrée chienne. Cet homme doit alors être un serviteur du Marquis qu'il envoie me chercher ou alors Walter le fameux Majordome en personne, celui des récits du Marquis. Mais je ne m'aventure surtout pas à demander qui il est, puisque je dois faire silence. - Tu te mets nu et tu rentres dans le coffre ouvert de la voiture à la sortie de l'impasse. Je ne veux pas t'entendre jusqu'au Château, petite chienne. » Sans me retourner je me déshabille très vite, une fois totalement nu, j’exhibe malgré moi une forte érection que je ne peux pas contrôler, tant je suis excité de la situation. On me met alors un bandeau sur les ...
    ... yeux et on me guide jusqu’au coffre pour m’y enfermer recroquevillé. La voiture ne tarde pas à démarrer. Le trajet dure environ 20 minutes, dont 15 sur une route goudronnée et les 5 dernières minutes sur un chemin carrossé mais qui n’évite pas certains petits cahots à me secouer un peu, jusqu'à ce que je l'entende franchir les grilles du portail qui se referment juste derrière nous. Le véhicule roule encore 2 minutes puis se gare sur des gravillons et j’entends qu’on sort de la voiture. J'attends dans le coffre de nouvelles instructions. C'est long. Ca y est j'entends des bruits de pas sur le gravier de ce que je suppose être la cour du Château. Le coffre s'ouvre enfin. « Sors et suis nous, ne dis surtout rien ! » Je sens que ma nouille est encore en forte érection par le fait de me trouver nu dans cette cour devant des gens. On m’enlève le bandeau. Je cligne des yeux surpris par la lumière naturelle malgré le gris uniforme du ciel. Quelle surprise ! Il y a là en face de moi, une petite dizaine de voitures luxueuses garées bien en ordre dans la cour du Château, il doit y avoir au moins une quinzaine de personnes à l'intérieur. Je vois de suite ceux qui m’ont conduit jusqu’ici, il s’agit de deux hommes de forte taille et très bien habillés, cravatés à l’élégance certaine dans leur costume impeccablement coupé. Ils en imposent beaucoup par leur carrure. Soudain deux femmes à quelques mètres, débouchent d’un angle d’un mur, elles sont entièrement nues à part un épais collier de ...
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