Science-fiction : Domination d'une jeune femme artificielle (4)
Datte: 24/06/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... complètement cachée de tous à partir du moment où elle avait dissimulé le sien derrière le pilier. Elle se mordillait la lèvre inférieure et ça m’excitait. Avant de remettre le casque, je lui ai dit : « T’es sure que tu ne préfères pas qu’on fasse ça ailleurs ? — J’emmène les mecs ici pour savoir ce qui les branche. Personne n’a été excité comme ça par la première salle. Mais en même temps on m’avait dit que t’étais à moitié PD. » À moitié PD ? Personne ne parlait plus comme ça de nos jours. De quoi parlait-elle ? En tout cas l’entendre dire ça avait fait tressauter ma virilité dans mon pantalon. Putain ce qu’elle m’excitait ! J’ai remis le casque et j’ai tout de suite compris de quoi elle parlait. La servante léchait allégrement les pieds de la reine : elle léchait entre les orteils, prenait le plus gros dans sa bouche parfois comme si elle faisait une fellation, mordillait le talon avec passion… Tout occupé que j’avais été à observer cela, j’avais manqué le clou du spectacle. Ce que je n’avais pas remarqué la première fois c’est qu’elle adorait tellement ça qu’elle branlait sa queue en même temps. Oui, la petite soumise avait un pénis entre les jambes. Ce n’était pas un homme, ça c’était clair au vu du reste de son physique, mais dans ce monde virtuel, elle était dotée d’une belle queue qu’elle faisait sortir de sa tunique pour se caresser. C’est alors que Cléopâtre a fait de même. L’exposition n’était pas « postmoderne » pour rien. La reine a écarté sa robe pour révéler ...
... une magnifique queue, plus grande que celle de sa suivante, et deux grosses couilles bien remplies. Elle s’est lascivement adossé contre le trône et s’est mise à faire des va et vients avec son membre pendant qu’on lui vénérait les pieds. Les figurants du scénario virtuel regardaient passivement, avec respect. Les visiteurs aussi. « Viens, suis-moi, je vais te montrer quelque chose qui va te faire plaisir. », m’a dit Melina. Je voulais voir la suite du spectacle principal, mais je l’ai tout de même suivie derrière un pilier. Un de ses piliers qui, dans le monde virtuel, faisait parti de l’architecture de la salle du trône et qui, dans le monde réel, correspondait à un vrai pilier blanc qui nous isolait du reste des touristes et du guide. Là, dans le monde numérique, nous sommes tombés sur un « œuf de pâque », comme on dit chez les développeurs de scénarios virtuels : une surprise cachée par les programmeurs pour les âmes exploratrices. La surprise était une femme qui faisait au moins une tête de plus que moi, visiblement une guerrière étant donné l’épée attachée dans son dos et le bouclier à ses pieds situé à côté de sa tunique roulée en boule sur le sol. Elle était toute nue. Ses muscles étaient imposants aux bras et aux cuisses, sans pour autant lui donner un look bodybuildé qui nous ferait douter que toute cette masse musculaire puisse servir à quoi que ce soit. Elle avait une belle paire de seins bonnet C, et de magnifiques abdos au dessus d’une grande queue en érection. ...