Dans le noir
Datte: 24/06/2021,
Catégories:
fhh,
inconnu,
handicap,
sauna,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
massage,
Oral
préservati,
Partouze / Groupe
... Oui, bravo. Enfin, ne fais pas la maline car si la lumière était allumée et que ton voisin te regardais, tu ne serais pas aussi à l’aise, je suis sûr ! Après un court silence, le voisin en question prit justement la parole… — Vous savez, je suis non-voyant, alors ça ne change pas grand-chose dans tous les cas pour moi ! Oups… Aurais-je plombé l’ambiance avec mon humour lourdingue ? Notre voisin finit par rire. — Détendez-vous : ce n’est pas contagieux ! nous lança-t-il. Ouf, ce dernier avait aussi de l’humour ; nous pouvions continuer notre repas. Finalement, la conversation s’est installée à trois ; moi qui avais imaginé un repas en amoureux… L’homme était très sympa ; il s’appelait Étienne et habitait à proximité car il travaillait en tant que masseur dans un spa non loin de là dont le concept était le même que le restaurant, puisqu’ils proposaient des séances de hammam et massage dans le noir. Il venait donc souvent dans ce restaurant ; il racontait que c’était amusant d’entendre les couples discuter en pensant que comme on ne les voyait pas, on ne les entendait pas non plus ! D’autant qu’il avait bien évidemment l’oreille affûtée. — Si vous saviez le nombre d’échanges salaces que j’ai eu l’occasion d’entendre ici…— C’est vrai, ajouta Béa, il ya pas mal d’amoureux ici ; de nombreux couples viennent en tenue de soirée très classe, d’ailleurs. C’est beau…— Vous savez, il faut que je touche pour imaginer les vêtements, moi. Je me mis à rire. — Alors là, tu ne serais pas déçu ...
... ! Le tutoiement était venu naturellement car nous nous sentions bien avec cet homme ; même Béa, d’habitude si réservée, se sentait à l’aise… — C’est sûr que si nous étions dans un lieu éclairé, je me serai habillée autrement. L’homme commanda une seconde bouteille de vin au serveur qu’il connaissait bien. Nous appréciions la compagnie d’Étienne comme si nous étions sortis entre amis. L’apéro et les deux bières que j’avais bus avant la bouteille m’obligèrent à aller aux toilettes. Heureusement, il faisait jour là-bas ! J’eus l’idée de faire passer un mot à ma belle sur un petit papier où j’inscrivis ces quelques mots : « M’autorises-tu à te caresser les seins ? » Une fois de retour face à Béa, je lui fis parvenir discrètement le papier dans la main. Elle le prit et finit par aller à son tour se soulager la vessie. Elle se leva, puis revint en disant : — Oups, il fait peut-être froid là bas ; je devrais remettre mon gilet. Je riais intérieurement, imaginant Béa se rendre compte, une fois en pleine lumière, qu’elle avait la poitrine à l’air ! Lorsqu’elle revint au bout d’une dizaine de minutes, elle s’installa et dit juste : — Oui, bien sûr mon chéri. J’entendis alors sa chaise bouger lorsqu’elle se redressa pour avancer et galber le torse. Béa devait apprécier de sentir les deux mains face à elle sur sa généreuse poitrine car elle ne parlait plus… Je n’en pouvais plus. Je finis par lui glisser à l’oreille droite : — Coucou, je suis à côté de toi : nous avons échangés nos places ...