1. L'ivresse des sens


    Datte: 25/06/2021, Catégories: fh, ffh, fplusag, asie, frousses, couple, médical, bizarre, campagne, train, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Masturbation intermast, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, attache, fouetfesse, délire, fantastiqu,

    ... chérie, haleta la créature sous les coups de boutoir de l’homme. Je voyais les seins lourds de mon ancienne maîtresse se balancer au rythme de la cadence qu’imprimait Dan. Il s’accrochait aux hanches d’Annie pour ne pas basculer sur le lit instable des grappes de raisin. C’est une drôle de manière de presser les grains, fut ma dernière pensée avant de sentir une main agripper mes fesses. Je me retournai. Sabine me fixait en souriant. — C’est bien, Balou, tu as trouvé le chemin jusqu’à nous, viens avec moi, je t’emmène vers le merveilleux, murmura la femme rousse. Elle portait un peignoir blanc. Elle me prit la main et me guida vers la baignoire en bois.— Tu vas prendre un bain avec tatie Sabine, mon grand. Je hurlais intérieurement. Elle posa sa bouche sur la mienne, nos lèvres se soudèrent. Je sentais les doigts agiles qui me débraguettaient. Tu as besoin d’un bon bain, Merlin, dit une voix dans ma tête. Je sombrai à nouveau dans l’océan de luxure, sans pouvoir résister à cette créature. Sabine me caressa longuement. Elle m’aspergea de vin rouge. Nous en bûmes à profusion, trop à mon goût. Elle riait. Nous nous léchions mutuellement chaque parcelle de notre corps. Nous riions tous les deux en nous éclaboussant, et je me rendis compte que l’ivresse me gagnait. Une petite voix intérieure me soufflait pourtant que je vivais un événement délirant, qui dans la réalité n’existait pas. Alors où étais-je, dans quelle dimension m’avait-on entraîné ? Je jetai un coup d’œil vers ma ...
    ... gauche. Annie était en train de prodiguer une fellation à Dan couché sur lit de raisins. Consciencieusement elle pompait la verge. Joues creusées, elle l’aspirait bien au fond de la gorge. Ensuite, lentement, elle se retirait tout en le gardant en bouche. Arrivée au gland elle taquinait celui-ci avec sa langue. Dan gémissait doucement. Soudain je me rendis compte que ce garçon m’était familier. J’hallucinais ! C’était moi en blond ! Annie tourna son visage vers moi et me fit un clin d’œil avant de replonger vers le dard de chair. Sabine se redressa, nue, splendide. Le vin coulait sur elle. — Viens avec moi ! Elle me prit la main et ensemble, tels Ève et Adam nous nous dirigeâmes vers un autre escalier qui nous mena à l’extérieur. Je me retrouvais nu dans un jardin fait de pelouses et d’arbrisseaux. Les rayons du soleil chauffaient nos corps. Le vin commençait à sécher, de longues traînées rouges maculaient nos jambes et notre dos. — Où sommes-nous ? Je voulais absolument connaître la vérité. Sabine se tourna vers moi, elle me souriait. — Tu es dans ton fantasme, Balou, non ? Je suis avec toi maintenant, je vais bien m’occuper de toi. Elle dit cela en flattant ma verge. — Hum, elle est molle, il faut la réveiller, mon petit. Je fis un pas en arrière. — Arrêtez vos conneries, ça suffit ce petit jeu, m’exclamai-je, furieux. La femme ne dit rien et continua à sourire. Soudain le jardin se fissura. Un tremblement me secoua. Sabine avait disparu. La terre se crevassa, puis s’ouvrit ...
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