L'ivresse des sens
Datte: 25/06/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
fplusag,
asie,
frousses,
couple,
médical,
bizarre,
campagne,
train,
amour,
fsoumise,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Transexuels
Masturbation
intermast,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hsodo,
attache,
fouetfesse,
délire,
fantastiqu,
... ! Je devenais fou ! La femme quitta la pièce. Je me retrouvai à nouveau couché, recouvert d’un drap blanc. Je me sentais fatigué, usé, avec l’impression d’avoir pris plusieurs années d’un coup. La porte s’ouvrit à nouveau. Sabine ! Mon dieu, c’était bien elle ! Je hurlai mentalement. Je la regardai s’approcher de moi. Elle était nue sous sa blouse, ça crevait les yeux. Les bouts de ses seins pointaient effrontément sous le tissu. Par l’encolure de sa blouse, je voyais l’orée de sa poitrine. — Bonjour, monsieur Balou. Je suis Sabine, votre infirmière, annonça-t-elle joyeusement.— Bonjour, murmurai-je à mon tour.— Il va falloir faire votre toilette. Vous pouvez marcher un peu, non ? Je vais vous guider vers la salle de bain. Elle m’aida à m’extraire du lit. Ma tunique remonta sur mes cuisses, en laissant apparaître mon sexe flasque niché dans une toison noire. — Oh, n’ayez crainte, j’en ai vu d’autres, lança Sabine en me voyant rabaisser le tissu. Elle prépara la douche, ainsi que les draps de bain. — Allez venez, je ne vais pas vous croquer, jeune homme !— Mais, je…— Tss-tss, vous ne croyez tout de même pas que je vais aussi vous savonner, non mais ! Sabine referma la porte en riant. Je me douchai longuement sous l’eau chaude, me savonnant vigoureusement avec le gel mis à ma disposition. C’était une crème à base d’amande, le parfum en était agréable et m’étourdit quelque peu. En m’essuyant, j’entendis des gens parler dans ma chambre. J’enfilai le peignoir, blanc lui aussi, ...
... et quittai la salle d’eau. Sabine se tenait devant moi, une seringue à la main. — C’est votre traitement monsieur, une piqûre matin et soir. Couchez-vous sur le ventre, je vous pique la fesse droite, vous ne sentirez rien. Je m’exécutai docilement, la douche m’avait occis. Au dessus de moi je sentais Sabine se pencher, elle me claqua la fesse en disant : — Allez c’est fini, vous pouvez mettre votre pyjama. Je découvris une sorte de tunique bleu ciel posée sur mon lit. Je m’habillai tel un automate. Une étincelle de lucidité me fit comprendre qu’on m’administrait des drogues. J’avais les paupières lourdes, et aucune envie de protester. XXX Je marchai lentement le long des couloirs aux murs toujours aussi blancs. Sabine me guida à une table, je m’assis devant une assiette de soupe. Autour de moi, femmes et hommes de tous âges étaient également assis. Le déjeuner se passa sans que personne ne prononce la moindre parole. Seul le bruit des couverts rythmait le repas. — Elles vous sucent la nuit. Je levai les yeux vers mon voisin qui avait murmuré cette phrase. L’homme était blond, cheveux courts, presque en brosse. Son visage était étonnamment ridé, ses lèvres étaient violettes. Dan ! C’était le barman du train. Je faillis avaler de travers la purée verte. — Elles vous vident de votre énergie lorsque vous dormez, continua mon compagnon. Écoutez la nuit les hurlements, vous verrez.— Ne l’écoutez pas, il devient sénile. Je regardai la femme qui avait prononcé ces paroles. Elle était ...