1. L'ivresse des sens


    Datte: 25/06/2021, Catégories: fh, ffh, fplusag, asie, frousses, couple, médical, bizarre, campagne, train, amour, fsoumise, hsoumis, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Masturbation intermast, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, attache, fouetfesse, délire, fantastiqu,

    ... couple et mettez-leur la camisole, ordonna-t-elle. Sa voix claquait comme le fouet sur la peau. Je ne croyais pas si bien dire… QUATRIÈME PARTIE Un hurlement déchira la nuit. Un cri strident de souffrance, mais aussi de plaisir. L’homme était attaché par les poignets, suspendu à une poutre par des lanières de cuir noir. Il ne pendait pas dans le vide, chacun de ses pieds reposait sur un petit tabouret de bois. Balou était nu. On lui avait également attaché les pieds, il était écartelé debout, bras et cuisses écartés. Ses cuisses étaient zébrées de rouge. Les coups de fouet lacéraient aussi ses fesses poilues. Annie sourit en déposant son accessoire sur la table du hangar. Une ampoule nue éclairait ce qui ressemblait à un entrepôt. Seules les structures métalliques entouraient l’homme et la femme. Annie admira son œuvre. Elle se rapprocha de l’homme. Il la scrutait intensément, il transpirait. — Détache-moi, Annie. Je n’ai rien à faire ici, bon sang !— Crois-tu, beau mâle, crois-tu ? minauda la directrice du centre de repos. Elle portait une blouse blanche trop petite pour elle. Les formes généreuses de la quinquagénaire semblaient prêtes à déchirer le mince tissu du vêtement. Elle était manifestement nue en dessous. Annie se tenait maintenant devant le garçon, bien plus jeune qu’elle. Elle enfouit ses mains dans la toison noire de Balou. Elle lui caressa le torse, pinça les mamelons déjà érigés. Puis sa brune chevelure se colla sur le ventre de son prisonnier. Elle léchait ...
    ... son abdomen velu. Elle le respirait, les poils lui chatouillaient les narines, mais elle aimait cette sensation de domination. Comme elle s’y attendait, ses caresses ne laissèrent pas Balou indifférent. Sa hampe érigée se déployait devant ses yeux. — Nous sommes seuls, tu sais, le soleil se lève d’ici une heure. Tu vois, tu as envie de moi, tu aimes te faire dominer et te retrouver à ma merci. Annie lécha les perles de sang qui couraient sur la peau de Balou. Puis, comme par enchantement, elle déboutonna sa blouse. Il admira la voluptueuse poitrine qui se colla contre lui. Le fessier callipyge, les cuisses aux galbes appétissants, le ventre rond finirent par séduire Balou. Il gémit sous les baisers de la belle quinquagénaire. Il se tortillait, ainsi écartelé, debout devant elle. Ses bras commençaient à le faire souffrir, ainsi attachés en l’air. Annie s’agenouilla devant son prisonnier, ses genoux calés sur la blouse roulée en boule. Elle ne voulait pas s’écorcher sur le rugueux revêtement du sol de béton. Elle se baissa encore. Elle embrassa les lourdes bourses qui pendaient dans le vide. Elle sourit, Balou grisonnait aussi à cet endroit. XXX Je regardais Annie sous moi. Elle léchait mes couilles et mes cuisses. Malgré la douleur d’être attaché de cette façon j’étais excité. Livré à cette femme aux rondeurs de Rubens, je savourais ma soumission. Comment connaissait-elle mes fantasmes ? Me faire fouetter fesses et cuisses, pour ensuite accepter qu’on lèche mes perles de sang ? ...
«12...161718...»