1. Julie 1


    Datte: 09/11/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... son recul induisait dans mon ventre un vide frustrant quand il sortait de moi pour mieux me réinvestir. J’étais soudée à lui, il me baisait merveilleusement. J’aurais bien voulu qu’il me finisse, mais j’avais fait la promesse de me retenir. C’était la contrepartie que je devais à celui qui m’a fait devenir femme et amante. Je le chevauchais désormais et ses mains sur mes fesses me donnaient le rythme de son plaisir. Dans cette position je maîtrisais mieux mes sensations et j’étais entièrement occupée à lui donner du plaisir. J’entendais à son souffle et ses gémissements qu’il ne maîtrisait plus grand-chose. J’étais son amante et sa maitresse. C’est alors que j’ai décidé de lui offrir ma bouche. C’est en tentant d’emboucher son pieu que je me suis aperçu qu’il était particulièrement gros. Je n’ai pas l’habitude de m’appesantir sur les détails anatomiques des hommes, mais ici, j’avais affaire à un organe, pas particulièrement long mais suffisamment gros pour que l’intromission dans ma bouche soit délicate. Il est vrai que je fais partie des ces femmes qui ont une bouche pas très grande. Devant l’épaisseur du membre je craignais que mon ouverture ne soit pas suffisante pour que mes dents n’abîment pas l’énorme gland que je voulais engloutir. J’ai commencé à lécher l’énorme fraise rose qui avait le goût prononcé de nos sécrétions mélangées puis recouvrant le gland du prépuce, je me l’introduisis au fond de la cavité buccale en ouvrant la mâchoire autant qu’il était possible. ...
    ... Je décalottai ensuite l’engin et me mis à le téter d’abord timidement puis à faire bouger ma langue autour. Je m’y prenais bien prudemment de peur de le blesser. J’entendais les gémissements d’Antoine et son ventre se creuser pour faire bouger son membre dans ma bouche. N’y tenant plus je recrachai l’engin en me mis à le branler. Sa queue était tellement raide que le bout de peau ne parvenait plus à recouvrir complètement le gland sa main guida la mienne pour lui donner le rythme nécessaire à son plaisir. Ses gémissements s’étaient transformés en cris et quand ma langue lui lécha les couilles, son sperme jaillit en jets tièdes jusqu’au milieu de la poitrine. Je recueillis un peu de jus avec la langue puis l’embrassait fougueusement, renvoyant dans sa bouche une partie de sa liqueur. Si à ce moment il avait pris l’initiative de me pincer le bouton je serais assurément partie d’un plaisir violent tant j’étais amoureuse et excitée. Désormais, c’est moi te ferai jouir, Antoine. C’est toi qui sera mon amant et peut-être plus. Ces mots on a du mal les dire, et le plaisir de la jouissance nous autorise à les prononcer. Et c’est ainsi que notre relation a commencé pour de bon. Après quelques heures de sommeil, j’ai prétexté un travail à faire lendemain et je me suis éclipsée du lit laissant étendu le corps de mon amant. Dehors, dans l’aube grise, je rentrais chez moi le corps léger, la tête pleine de cette nuit fabuleuse. A mon bureau, assis devant mon ordinateur, j’ai transcrit les ...