1. Le chemin de l'école, partie 23


    Datte: 25/06/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    A 19h55, le livreur sonne à la porte. Et d’humeur grivoise, c’est dans cette tenue que je lui ouvre. Il bredouille difficilement un bonsoir, ses yeux ne se détachant pas de mes seins. La dentelle laisse apparaître mes tétons. Je ne peux m’empêcher de laisser glisser mon regard jusqu’à son entrejambe et constate avec joie que sa queue forme une bosse dans son jogging. Je lui demande combien je lui dois, il me répond non sans mal. Ravie de l’effet que je lui fais, je décide de pousser le vice un peu plus loin… Je fais ‘’malencontreusement’’ tomber quelques pièces sur le sol. Je me baisse d’abord face à lui pour en ramasser une, lui donnant une vue dégagée sur mes seins. Puis je me tourne, dévoilant mon cul. Le tissu étant si court qu’il n’a pas pu rater le fait que je ne porte rien dessous. Puis je lui assène le coup de grâce, qui l’excitera autant qui lui fera comprendre qu’il peut toujours rêver : - Je suis tellement maladroite... Ma petite amie devient folle quand je fais tomber des trucs… Je vois son visage se décomposer et sa bosse grossir. Je lui tends l’argent et il me donne les sushis. Je lui souhaite une bonne soirée et je referme la porte. Après avoir mis les sushis au frigo, j’attrape la chantilly, le miel et la sauce chocolat et vais les cacher dans ma table de chevet. J’arrive dans le salon au moment où il passe la porte. - Que me vaut cet accueil si chaleureux ? me demande-t-il en posant son sac de spot près du meuble à chaussures. - Notre discussion m’a beaucoup ...
    ... excitée et un jouet en plastique ne remplacera jamais ta queue dans ma chatte et mon cul. Et j’ai envie de jouer avec ta bite bien dure… - Elle te va encore mieux que ce que j’avais imaginé. - Le livreur a du se dire la même chose vu comme il bandait dans son pantalon ? - Le livreur ? - J’ai commandé à manger pour après. Et j’ai eu envie de le titiller un peu. Je lui raconte mon petit jeu, la tête du livreur quand j’ai ouvert la porte et celle qu’il tirait en partant. - T’es capable d’être une vraie garce ma puce… je trouve ça sexy aussi… tourne un peu que je t’admire. Pour lui montrer que seule la nuisette couvre mon corps, je me penche en peu en avant pour lui montrer ma croupe. Il me fesse violemment, me faisant mal. - Ça, c’est parce que tu parles comme une salope et que tu montres ton cul au livreur. Puis il fait glisser sa langue le long de ma raie, s’attardant sur mon trou… - Et ça, c’est parce que ça me fait graver bander ! Puis il me porte jusque dans la chambre. Il me pose sur le lit, s’assied au bord et enlève ses rangers. Je me mets à genoux derrière lui, me colle à son dos, passe mes mains sur son torse encore moulé dans son uniforme. - Et si on commençait par le dessert ? Je lui murmure. Il ne me répond pas. Il se contente de se retourner, de m’embrasser et de m’allonger sur le lit. Dans un tiroir de la commode, il attrape un de mes foulard et attache mes mains à la tête de lit. - Tu n’aimes pas les desserts bébé ? Toujours aucune réponse. Il prend deux autres ...
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