Contrôle de gendarmerie musclé (1)
Datte: 30/06/2017,
Catégories:
Erotique,
... ne sais pas comment il va faire pour tenir debout ou conduire. Quand soudain, une connaissance à cette dernière l’invite à venir au milieu de la piste pour faire plusieurs pas de salsa. Je me retrouve comme une idiote, toute seule, au milieu de cette foule. C’était sans compter sur l’intrépidité de Romain, le meilleur ami de Sophie, puisqu’il a posé ses mains autour de ma taille afin de m’entraîner sur des sons d’Amérique Latine. Je suis plutôt heureuse, je reçois un peu d’attention, puis en jetant un coup d’œil vers le comptoir Martin continue d’enchaîner les verres les uns après les autres. Ce comportement m’exaspère totalement, mais je n’y peux rien. Je réglerai le souci avec lui demain, car il va me falloir des explications. Romain est assez enjôleur, un peu comme d’habitude d’ailleurs, je pense que je lui plais, mais nous n’avons jamais conclu. Sans doute, un blocage en rapport avec nos âges un peu espacés. Et puis nous n’avons pas forcément les mêmes centres d’intérêt. Des musiques africaines sont à présent diffusées. Place au zouk. Cette danse a le don de me rendre sensuelle, mais aussi très enjôleuse. Romain l’a remarqué et joue avec mes sentiments, ce qui n’est pas pour me déplaire dans cette soirée où je me sens seule. Je ne sais pas si je vais réellement résister à la tentation si ça continue comme ça. La chaleur, l’alcool et l’ambiance décontractée sont des facteurs de bien-être. C’est d’ailleurs un cocktail assez explosif. Le dj change à présent de registre ...
... musical puisqu’à présent, il diffuse des slows. Je vais au bar afin de retrouver Martin. Celui-ci boit désormais moins, mais il ne semble pas calculer le monde qui a autour de lui. Je l’invite à me rejoindre sur la piste, mais rien y fait, il ne veut pas. Je sors de la salle un instant, histoire de prendre l’air afin de me calmer. Mais je n’y arrive pas, je rumine, je grogne d’incompréhension suite au comportement de mon compagnon. Je sens alors une main se poser sur mon épaule, ce qui ne manque pas de me faire sursauter. C’est Romain qui essaye de me réconforter. On discute dix bonnes minutes. Mais rien n’y fait. Il me tend ses bras pour me faire un câlin, je ne le refuse pas. Ce moment de tendresse est plutôt agréable. Nous retournons dans la salle, nous dansons brièvement, puis il m’invite à faire le tour de ce théâtre abandonné. Je lui dis que ce n’est pas sérieux, que je sais très bien ce qu’il a derrière la tête. Il me dit que non sur un ton humoristique. Je regarde de nouveau en direction de Martin, cette fois-ci, il est étalé sur un vieux canapé poussiéreux, et dort. Cette image me donne un double sentiment, celui de la désespérassions, mais aussi celui de franchir le pas de l’interdit. Romain me fait un bisou sur la joue, ce qui me sort totalement de mes pensées. Je lui rends, et lui dis que je suis d’accord pour effectuer la visite des lieux. Nous passons derrière le rideau rouge. Nous visitons les vestiaires, le coin salon, puis la salle réservée à la technique. Depuis ...