Mélanie, petite soumise.
Datte: 26/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Première fois
... pantalon, je sortais mon sexe déjà bien dur. François me rejoignit aussitôt.Sans rechigner, elle prît nos bites en main, les jambes écartées. Nous dévorions ses lèvres à tour de rôle, la pelotions, plongions aux creux de ses cuisses pour ne se contenter que de lui effleurer la chatte, pour le moment.Notre invité fût agréablement surpris de constater que Mélanie porte rarement des soutien-gorge, se penchant vers elle, il s’amusa à lui titiller le téton du bout de la langue. Bien que couvert de tissu, ce dernier ne tarda pas à se durcir devant tant de sollicitations. Aux petits gémissements qu’elle poussait, il est clair que ma douce n’était pas, non plus, insensible à nos caresses. La mise en place était faite, on allait pouvoir s’amuser.D’une voix que je n’espérais pas trop ferme mais claire, je lui demandais de se déshabiller devant nous. François me regardait du coin de l’œil tandis qu’elle s’exécutait. Une fois nue, il se mis à genoux devant elle et lui écartant doucement les jambes, lui offrit un délicieux cuni.Il n’avait pas tort, notre jouissance seule ne suffisait pas, il fallait qu’elle prenne aussi son pied pour accepter de n’être qu’un objet sexuel entre nos mains. J’en profitais pour retirer mes vêtements et la rejoignais par derrière, mon sexe frottant son cul, jouant avec ses seins tout en lui dévorant le cou, chose dont je savais qu’elle adorait.Les yeux fermés et la bouche entrouverte, Mélanie acceptait de se faire lécher le corps, la moindre parcelle de sa ...
... peau offerte à notre plaisir.- Suces nos queues, maintenant. Lui chuchotais-je. Se mettant à genoux, elle accueilli nos bites sans discussion. D’un lent mouvement du bassin, François s’évertua à la lui enfoncer le plus loin possible pour ressortir aussitôt, ne s’arrêtant que lorsque son bruit de gorge se fit entendre. J’attrapai mon portable pour recommencer une série de photos. La vision de sa petite gueule d’amour avec nos deux glands posés sur sa langue était bien trop tentante pour passer dans l’oubli. Suce-nous, ma belle, ne soit, ce soir qu’un vide couille comme on les aime.En bon hôte qui se respecte, je le laissais la pénétrer en premier. Je voulais la voir aussi, sous ce nouvel angle. Lui tournant le dos, prenant appui sur ses jambes, Mélanie subissait les coups de butoir de notre ami. Je distinguais parfaitement cette bite qui s’enfonçait à un rythme effréné dans la tendre chatte de mon amoureuse. C’était curieux, terriblement excitant. Je n’éprouvais aucune jalousie à la voir se faire baiser par un autre, au contraire. J’avais envie qu’il lui prenne le cul, la fasse râler de jouissance tandis qu’elle me sucerait encore et encore. A moins que ça soit l’inverse. Nous allions probablement enchaîner les positions de toutes manières.François, lui aussi, ne s’y trompait pas. Il avait vite compris qu'elle adorait n’être rien d’autre qu’une salope à baiser. S’abandonnant totalement à nos fantasmes, elle accepta, la tête calée sur le bas du canapé, de subir de nouveau, un ...