Valérie : l'insoupçonnée (5)
Datte: 26/06/2021,
Catégories:
Hétéro
... plonge entre ses jambes écartées. Je me délecte de cette fente détrempée, ouverte et chaude. Valérie est pressée mais me laisse la faire jouir avant de m’attirer à nouveau en elle. Après plusieurs profonds allers-retours, je ne peux plus résister à mon excitation. Un dernier coup de rein et j’explose loin dans son vagin. Valérie accueille mon effort d’un long gémissement. Je me retire, la redresse et l’embrasse. Assis à côté d’elle, je l’enlace tendrement. Elle dit : — Je ne suis pas fière, mais je suis heureuse. Cette soirée est déjà gravée dans ma mémoire. — Dans la mienne également. Je me sens si bien… Nous nous embrassons. Valérie dit : — On ne va pas tarder, je n’habite pas vraiment à côté. Trois-quarts d’heure de voiture l’attendent effectivement. A regrets, nous jetons la bouteille de champagne, à moitié pleine malgré une seconde coupe chacun. Main dans la main, nous reprenons le chemin en direction de la voiture. Seule la lune nous éclaire. En chemin, je la taquine : — Tu te promènes souvent sans soutif ni culotte ? Elle éclate de rire. — Je t’avais bien dit qu’il ne fallait pas me tenter. Elle ajoute : — En réalité, je ne suis pas du tout exhibitionniste et même plutôt du genre pudique. Pour répondre à ta question, il faut remonter à l’été de mes 14 ans. J’étais en vacances en camping avec mes parents et j’avais sympathisé avec la fille de la caravane voisine. Elle s’appelait Camille et avait 17 ans. Et elle ne portait pas de dessous. Aucun. De toutes ...
... les vacances, elle n’a jamais mis ni soutif ni culotte. A part des bikinis bien entendu. — Et tu as fait pareil qu’elle ? — Pas pendant les vacances, non. Mais en rentrant, j’ai essayé un jour à la maison et j’ai adoré. Depuis, l’été, durant les vacances, congés, week-ends, je ne porte plus de dessous. — Noooooon ? — Si tu me croises un dimanche d’été, je serai obligatoirement en jupe et je n’aurais rien dessous. Je dois faire une sacrée tête, car Valérie ajoute : — Ça te choque ? — Heu non, pas du tout. J’adorerai que ma femme agisse de la même manière. Valérie rit. — Mais sincèrement, même mes meilleures amies ne le savent pas. Pour le bas, j’entends. Je suis ravi de cette révélation. — Et au travail ? — Si je dis "jamais", ce n’est pas juste. Disons qu’il est arrivé que je craque certains après-midi d’été quand il fait très chaud, mais c’est rare. Je me fais pleins de films bien agréables. — Et à ton mariage ? Elle éclate de rire. — J’avais quand même un string. Vraiment pas grand, mais j’en portais un. Elle me prend par la taille. — Par contre, je n’en portais pas à mon pot de départ. — Mmmh… Robe trapèze bleu marine, talons noirs, soutien-gorge jaune. Valérie en reste bouche bée. — Tu avais vu mon soutien-gorge ? — Une bretelle. Elle s’arrête et m’embrasse. J’avoue : — Je voulais que tout le monde s’en aille pour faire l’amour avec toi sur une des tables. — Arrête. Ta main sur mon avant-bras au moment de se faire la bise. J’en frissonnais. bzabmmgr Nous rions.