1. UN AUTOSTOPPEUR ENTREPRENANT


    Datte: 26/06/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Je revenais d’une visite pour la journée chez mes parents, quand une envie pressante m’obligea à stopper quelques instants sur une aire d’autoroute. J’avais encore 2 heures de route, avant de retrouver la maison, et ne pouvais plus attendre. Quittant les toilettes un jeune homme m’aborda. Il était tout à fait charmant et son air rassurant me mis en confiance. - Excusez-moi de vous importuner, mais je suis en panne de voiture et je cherche quelqu’un pour me déposer à Saint-Dié. Trouvant cet homme charmant, Je n’avais aucune réticence et acceptais de le prendre dans mon véhicule afin de lui rendre ce petit service. De plus c’était sur ma route. Nous montâmes dans la voiture (en fait la voiture de mon mari un Espace dernier modèle). - Je m’appelle Tony et vous remercie chaleureusement de ce service. Il n’est pas dans mes habitudes de faire du stop - Moi c’est Patricia, et il est normal de s’entre aider. Qu’est t’il arrivé à votre véhicule ? Il me raconta la panne mécanique survenue plutôt, et qu’il préférait ce faire dépanner par des amis plutôt que de faire venir une dépanneuse. C’est pour cela qu’il avait laissé son véhicule sur l’aire d’autoroute et reviendra le chercher plus tard. Nous continuâmes, notre discussion, présentant chacun succinctement notre vie, et je dois avouer que le garçon était vraiment charmant, plein d’humour et de raffinement. Je croisais son regard qui était alors posé sur mes cuisses. En effet ma jupe était remontée à mi-cuisse laissant apparaître ...
    ... l’attache d’un de mes porte-jarretelles. Nos regards se croisèrent et je sentis mes joues rougirent. Immédiatement Tony senti mon embarras et dit : - Ne soyez pas gêné, et accepter mes excuses pour mon regard perdu, mais vous êtes une très belle femme, et je ne connais aucun homme qui ne pourrait résister à cette vision magnifique que j’ai eu sous mes yeux un instant - Vous exagérez, mais le compliment me touche. A 39 ans, vous savez les années s’accumulent - Vous êtes une femme exquise, et je peux vous garantir que je décrocherais la lune, pour quelqu’un comme vous. - Mais décrochez donc Tony, décrochez donc…. Encouragé par ma plaisanterie, Tony plaça sa main sur ma cuisse. Je me sentis immédiatement troublée. Honteuse de ne pas manifester une vive protestation, et gênée du trouble que je ressentais au contact sa main sur ma cuisse. - J’espère que vous n’êtes pas choqué me dit Tony. Si c’est le cas demandé moi de retirer ma main et j’obéirais immédiatement. - Tony, vous savez, je ne suis pas habituée à ce genre d’échange, et je dois avouer que c’est une première fois pour moi. Je ne voudrais en aucun cas que vous vous mépreniez sur moi. Sa main me caressait ma cuisse faisant remonter ma jupe, suivant le rythme de ma conduite. Un grand silence s’instaura dans la voiture ponctuait juste des bruits du moteur, et des froissements de sa main sur la jupe de mon tailleur trop sage. Tony par ses caresses expertes avait remonté intégralement ma jupe, découvrant mes porte-jarretelles ...
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