L'Algérien Du Quai Augagneur
Datte: 26/06/2021,
Catégories:
Gay
J'ai vécu quatre années à Lyon il y a vingt ans d'ici et j'y ai connu une expérience majeure - la première! - de soumission. Grand, un mètre quatre-vingt-sept, mais fluet avec soixante-six-soixante-dix kilos, brun, j'étais déjà en recherche d'hommes capables de me prendre en main virilement et j'ai rencontré pendant une chaude nuit d'été dans des chiottes publiques du bord du Rhône, quai Augagneur, un arabe algérien beaucoup plus âgé, la cinquantaine et moi vingt-cinq ans seulement, une peau sombre, bâti tout en force (ouvrier en chantier?) et, je le découvrirai plus tard, une queue large avec de lourdes bourses pendantes. Il m'a amené chez lui. Dès le premier soir, je l'ai sucé et il m'a pris. J'étais alors encore vierge du cul, il fut doux et progressif et je l'en remercie encore. On s'est revus. Il me téléphonait au boulot pour m'avertir et je le rejoignais chez lui pour le soir après le taf. Il me voulait nu, sauf des baskets pour le froid et un G-string noir. C'était une routine : j'entrai, je me mettais rapidement en tenue dans l'entrée, je venais devant lui, à genoux entre ses cuisses musclées je le suçai à fond et, ses mains dans mes cheveux, j'avalai ses jets chauds et salés pendant qu'il regardait sa télé. Puis je faisais silencieusement le ménage dans son logis (vaisselle, nettoyage, rangement, changer les draps), je prenais ensuite une douche et je me graissais avant de le rejoindre dans son lit. Là, je suis devenu sa femme, ou, au moins, son jouet sexuel : ...
... nouvelle fellation pour le remettre en forme avec en particulier de longs passages de ma langue sur ses bourses poilues et tout le long de sa large queue jusqu'au bout du gland, jamais de baiser sur la bouche avec lui, il ne voulait pas, et je lui suçais et léchais les seins qu'il avait sensibles. Lui, une main entre mes fesses, en terrain conquis, il s'assurait de ma lubrification et de la souplesse de cette rondelle qu'il s'apprêtait à écarteler une fois de plus. Physiquement, musculairement, la différence entre nous deux était telle, qu'il n'y avait qu'un seul patron possible. Ensuite il me prenait - dès le troisième soir, ce fut sans capote - et il jouissait en moi. Sa sailli était puissante, progressive, jamais brutale avant qu'il ne se soit confortablement installé en moi, avant qu'il ne m'ait enfilé toute sa longueur et que j'ai senti ses testicules venir frapper la peau de mon entrejambe. S'étant assuré de son emprise totale sur moi, il se laissait des fois aller à une cavalcade, parfois violente, ou je devais l'accompagner de mouvements de mon bassin pour atténuer autant que possible ses coups-de-boutoir... Ce que je préférai, c'est quand entrant et sortant entièrement à chaque mouvement, et qu'il me « limait » littéralement, il n'y pas d'autre mot qui s'applique à ce que je subissais alors que « limer », comme un menuisier lime une pièce. Pour la position, il alternait (c'était toujours lui qui décidait, pour cela comme pour le reste...) entre la levrette et le ...