1. Ma femme dominatrice m'offre à ses copines - partie 6 - cocu mais heureux


    Datte: 26/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... le monde va se coucher. Après une bonne nuit de sommeil j’ai envie de me promener un peu. Ma femme dort encore, la maison est silencieuse. Je sors prendre l’air, sans faire de bruit. Après une bonne heure de promenade je reviens, bien décidé à préparer le petit déjeuner pour tous les trois. Je monte vite faire un bisou à ma chérie et sur le palier je perçois des gémissements sortant de la chambre. Je m’approche doucement et par la porte entrebaîllée j’aperçois ma femme et Béa, étroitement enlacées dans le lit, nues bien sûr. Là pour le coup je suis scotché ! elles se sourient, s’embrassent et se caressent mutuellement sur tout le corps. C’est doux et très joli à voir. Ma femme perçoit ma présence à la porte et elle me fait le plus naturellement du monde « bonjour mon chéri, tu peux venir te recoucher avec nous si tu veux ». Béa me sourit et me tend la main, une telle invitation ne se refuse pas, je me déshabille et je vais me pelotonner entre ces deux bijoux. Elles gloussent gentiment et entreprennent de me caresser, je leur rends la pareille, personne ne dit un mot. On se regarde, on se sourit ; ma femme m’embrasse tendrement en plongeant ses yeux magnifiques au fond des miens. - bien , je vais vous laisser, les amoureux, fait Béa. - Non, reste avec nous, c’est trop bon tous les trois ensemble, je réponds. - Il n’y a aucune raison de partir, renchérit ma femme. Nous reprenons les câlins, ma femme m’embrasse à nouveau. Je lui rends ses baisers, mais d’instinct je distribue ...
    ... également des baisers à Béa. Elle se rétracte un peu, ne sachant quelle position adopter. Ma femme rigole gentiment. Elle m’explique que Béa et elle se sont découvert une attirance mutuelle depuis le début, qu’elles n’ont concrétisé que ce matin, et encore ajoute-t-elle en riant, tu es rentré un peu tôt. Béa fixe ma femme puis moi et m’embrasse passionnément. Sa langue fouille ma bouche, elle me caresse les cheveux, ma femme nous sourit, caresse les joues et la tête de son amie amante, puis la mienne avec une infinie tendresse. Le moment est magique, unique. Sans une parole, les mots seraient superflus, nous nous embrassons les uns les autres, nos mains caressent nos corps, dans une communion parfaite. Allongés côtes à côtes, je demande à Béa si son mec est au courant de ses pratiques sexuelles. Elle m’explique en rigolant que c’est lui qui l’a aidée à aménager la « pièce à supplices ». Il ne partage pas du tout ses goûts, par contre il a ses aventures de son côté, étant fréquemment en déplacement. Il n’accepterait pas du tout ces jeux de dominants et de soumis. Ils ont bien essayé mais ça ne prend pas chez lui. Ils s’aiment, dit-elle, à leur façon ; ils sont ensemble depuis vingt ans. Puis elle me félicite pour ma façon d’accepter, de jouer aussi bien mon rôle de soumis, cocu en plus depuis cette nuit, ajoute-elle, en riant. Ma femme me prend la tête dans les mains « Merci, merci de tout cœur pour ce que tu m’offres ». Je leur réponds que ce qu’elles me font vivre, elle, Béa ...
«12...6789»