1. De Hervé à Vanessa, chienne soumise (48)


    Datte: 27/06/2021, Catégories: Transexuels

    ... moi, par une Gény visiblement heureuse. Elle fait abstraction de l’odeur et dans l’état où nous sommes. — Allez, mes filles... Hihihihi. À la douche, le petit-déj’ est prêt. Comme deux zombies, on se lève et part sous la douche réparatrice. Nos tenues nous attendent sur des cintres. Jupe bleue, chemise blanche, veste bleue, petits escarpins. On se savonne et on s’embrasse. — Vanessa. Tu as été terrible hier soir. — Merci... Je ne sais pas ce qui m’a pris. Il va falloir que j’en parle à David. Regarde-moi, je bande encore. — Hihihihi... J’aime assez... — Assez ??? Elle me saute au cou et m’embrasse. — Je t’aime Vanessa... Un claque sur nos fesses nous rappelle à la réalité. C’est Émile. — Les enfants, l’avion est dans deux heures. Allez, dépêchez-vous. Ah, oui... Colliers et plugs obligatoires. C’est pimpante, maquillée et tout le tralala que l’on déjeune en compagnie d’Emile et de Gény. Maria, l’adorable Maria fait le service. Elle chantonne une chanson incompréhensible pour les néophytes que nous sommes. Gény s’est pomponnée. Elle arbore un petit chemisier blanc et une jupette de la même couleur, socquettes et chaussures assorties. Quant à Émile, il est habillé jean-baskets. Étonnant (On apprendra plus tard que c’est sa future femme qui a choisi. Papoune revit). L’avion nous attend et on décolle. Mais la météo capricieuse sur Lyon nous force à atterrir dans un petit aéroport près de Saint-Étienne. On décide d’y passer la nuit et de repartir le lendemain. La piscine couverte ...
    ... de l’hôtel qui jouxte l’aérodrome nous tend les bras. Le pilote et sa copilote nous ont rejoints. Émile et Gény sont inséparables. On rentre dans la salle de l’hôtel-restaurant. Le pilote et sa copilote tentent de s’échapper mais ce n’est sans compter de mon pouvoir de séduction. — Arrêtez de fuir... Vous allez manger avec nous. Ne fais pas le bégueule. Tu es mon invité. — Et ta cops, la mienne. Surenchérit Malika. On déjeune en buvant un bon vin. Émile, qui a très peu dormi, s’éclipse en me disant : — Je te confie Gény, mon amour. Je vais passer quelques coups de fil et me reposer. Amusez-vous, d’après Fred (le commandant), on ne pourra pas décoller avant demain soir. J’appelle Maria pour la prévenir. Elle me remercie, son idiot de frère n’y avait même pas pensé. Heureusement que je suis là. Ces mots me font chaud au cœur. Je passe devant le patron des lieux. Je lui demande si la piscine est ouverte. Il me répond qu’elle nous a été exclusivement réservée. Il appuie sur un interrupteur et une grosse tenture noire l’isole à la vue de la salle. Je repasse par la chambre, où m’attend Malika. Je lui annonce que je vais me détendre à la piscine. Rieuse, elle se désape. On est que toutes les deux allongées sur des transats. On est rejoint par Fred et Marion. Ils sont affublés de maillots de bain d’un autre âge. Malika est moi, évidemment nues, on part dans un fou rire nerveux. Je saute hors du transat et m’approche de Fred. — Bin quoi biquet... Choqué ? ?? — Euh, oui, un peu. Je ne ...