Qui l'eut cru Partie VI Premier matin
Datte: 27/06/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Qui l'eut cru Partie VI Premier matin Ce texte après une longue absence est la suite de la série « Qui l'eut cru » proposée sous le pseudo GALONA que je vous invite à relire afin de mieux rentrer dans l'histoire présente. Françoise DUVAL, veuve depuis quelques années, la cinquantaine finissante, femme d’un milieu assez aisé et bien sous tous rapports, se laisse séduire par un jeune collègue trentenaire en recherche d’un certain confort matériel et qui s’est bien gardé de lui avouer qu’il vient de purger une peine de prison pour vol. Après quelques coïts qui révèlent à Françoise des plaisirs jusqu’alors ignorés, la mère de famille qui se découvre jalouse, propose à son amant qui se prétend sans logement et qui feint de vouloir trouver refuge chez une ex petite amie, de s’installer provisoirement chez elle. Nous retrouvons nos deux amis après une première nuit passée au domicile de Françoise. Mardi 11 novembre 2014 Dans la cabine de douche embuée, Françoise DUVAL verse machinalement une noix de gel pour hygiène intime sur son gant de toilette et commence à frotter délicatement sa vulve. Il est déjà dix heures du matin, cela fait bien longtemps qu'elle ne s'était levée aussi tard, même un jour férié. Dans la chambre, Stéphane dort encore. Depuis qu'elle a ouvert les yeux tout se bouscule encore dans sa tête. Elle se demande comment Stéphane va se trouver un appartement avec ses problèmes financiers. Car elle ne va pas pouvoir le garder longtemps, cela va finir par se savoir, ...
... puis ses enfants viennent assez régulièrement. Hier elle n'a pas pensé à tout ça, elle s'est emballée, la seule chose qui comptait alors, c'était que Stéphane n'aille pas loger chez cette fille. Je fais n'importe quoi en ce moment ! Murmure-t-elle à voix basse. Françoise ferme les yeux, elle se revoit quelques heures en arrière, à genoux sur le lit conjugal, la nuisette remontée jusqu'aux omoplates, en train de se faire prendre en levrette par Stéphane. Son visage s'empourpre. Avec Jean-Pierre, ils avaient bien essayé de faire cette position à deux ou trois reprises, cela doit bien remonter à une vingtaine d'années, à cette période où le couple commence a bien se connaître et veut essayer des choses un peu nouvelles, des choses que beaucoup n'osent pas les premières années. Mais ce pauvre Jean-Pierre avait le plaisir un peu trop rapide, et manifestement la position ne lui convenait pas, à tel point que deux ou trois aller et retours avaient chaque fois suffi à avoir raison de sa résistance, alors que comme toujours dans ces cas là, Françoise le réconfortait en disant que cela pouvait arriver, finissant elle même par se convaincre. Hier soir, il en fut tout autrement, le coït n'en finissait plus, elle a aimé ressentir le sexe bien dur de Stéphane aller si loin, elle a ressenti deux fois le plaisir, deux orgasmes qu'elle a bruyamment exprimés d'ailleurs. Elle ne se reconnaît plus, elle qui jusqu'alors s'est toujours contrôlée. Puis, il y a aussi cette impression de plénitude, ...