1. Puis-je faire confiance à Isabelle ?


    Datte: 27/06/2021, Catégories: ff, fhh, fhhh, fbi, boitenuit, danser, intermast, Oral 69, préservati, pénétratio, totalsexe,

    ... Elle avait passé ses bras autour de mou cou et sanglotait légèrement. Puis d’une voix faible elle me dit que la journée avait été mal. Je lui ai mis la main derrière la tête et je lui ai dit raconte-moi tout. Elle s’est assise devant moi, plus proche que d’habitude, et elle a commencé : Tout en me décrivant ce qui s’était passé, elle avait mis ses mains sur mes genoux en les serrant légèrement. — Et puis que s’est-il passé après ? Tout en continuant à parler, Fatima avait les mains rendues sur mes cuisses. Cela commençait à me faire de l’effet surtout que j’étais en short. C’est à ce moment que ma mentalité vis-à-vis l’adultère commença à changer. Je lui dis : — Fatima, vois-tu où sont rendues tes mains. Tu vois aussi qu’une grosse bosse est en train de se former dans mon short. Je n’ai jamais trompé Isabelle depuis notre mariage, mais je commence à avoir chaud. Ton mari ne te satisfait pas sexuellement ?— Patron, me dit Fatima, je viens de me rendre compte que mon mari est gay. Depuis deux mois, il a fait l’amour avec moi qu’une seule fois et il a éjaculé sur mon ventre. Il est gentil, il prend soin de moi, mais je ne l’intéresse pas sexuellement. La dernière fois, j’ai dû le forcer pour me faire l’amour. Je veux avoir des enfants, mais lui n’en veut pas. J’avais une double émotion. Je ne voulais pas tromper Isabelle, mais d’un autre côté j’avais Fatima prête à faire l’amour avec moi. Elle était penchée devant moi et je voyais ses seins d’un brun chocolat se dandiner sous ...
    ... mes yeux. Elle était tellement aguichante. Je savais que je n’avais qu’à avancer mes mains vers elle et elle aurait fondu dans mes bras. Je me suis ressaisi et je lui ai demandé de continuer son récit sans pour autant lui demander d’enlever ses mains sur mes cuisses. Les mains de Fatima caressaient ma bosse qui devenait de plus en plus dure et pour être à l’aise j’ai dû baisser ma fermeture éclair. Mon pénis, comme un ressort sortant d’une boîte fermée dont on ouvre le couvercle, a surgi devant sa bouche. Sans hésiter, elle le prit en bouche et commença à me faire une pipe. J’étais en train de tricher, mais la jouissance que me procurait Fatima était plus forte que la volonté d’arrêter. Elle avait une bouche divine. — Qu’est-il arrivé par la suittttttt… Elle arrêta de me sucer, mais continua ses mouvements de haut en bas sur ma hampe. Fatima arrêta de parler puis elle baissa le haut de son boubou et dévoila sa paire de seins. De vrais bijoux à sucer, à malaxer, à embrasser puis elle se remit à sucer le pénis qu’elle avait délaissé quelques minutes plus tôt. Mon pénis me faisait mal, je voulais expulser mon sperme dans le fond du vagin de Fatima. Je me suis levé et par la fenêtre j’ai vérifié ce qu’Isabelle faisait. Elle avait l’air d’être assoupie. J’ai refermé le rideau puis j’ai pris Fatima par le bras et je l’ai amenée sur le sofa où je l’ai complètement déshabillée. — As-tu une capote ? lui demandai-je.— Non, mais il y en a dans le premier tiroir de la grande commode en ...
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