1. Rééquilibrage, pour deux femmes il faut un deuxième mâle


    Datte: 28/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    Mes forces déclinent, mon moral est dans mes chaussettes. Qui trop embrasse mal étreint. Mes deux femmes abusent de moi. Après les heures de travail en semaine, mes soirées entre elles, sous l’une ou sur l’autre me laissent sur le flanc. Le rythme trop soutenu, l’excès d’exercice et ma contribution trop fréquente à la production de sperme buvable à la source, destiné à éclaircir les joues ou à nettoyer le fard à paupières usent mes forces physiques et mes facultés mentales au point que je finis par révéler mon désarroi à ma jeune stagiaire, curieuse et soucieuse de ma santé . Jamais en temps normal je n’ai fait de confidences sur ma vie privée à quiconque. Chloé me prend en pitié, convoque son père et monte un plan astucieux pour trouver une solution à ce qui tourne à la crise grave. J’invite donc Richard à un repas un samedi. Il aura pour mission de conquérir la veuve et de nous en débarrasser Louise et moi. Ce soir, c’est la fête, j’ai annoncé la visite d’un collègue de travail. Aussitôt, elles ont déclaré qu’elles allaient organiser une réception qui me ferait honneur. Petits plats, vin fin, bougies, musique de fond, elles ont tout réglé. L’esthéticienne a fait fortune et la vendeuse de lingerie fine a vendu ses pièces les plus osées: Nora et Louise se sont mises en frais pour de bon. Richard n’en revient pas, il salue Louise, lui offre des fleurs, s’excuse de ne pas avoir de bouquet pour Nora et m’accuse de ne pas lui avoir révélé la présence d’une hôtesse aussi jolie. ...
    ... Quel acteur ! Il a marqué un temps d’hésitation quand Louise lui a présenté Nora. Nora elle-même a tiqué en le voyant. Il y a eu comme un malaise. A croire que ces deux là se connaissaient. Ça n’a duré qu’une seconde. Richard a su lever un peu d’embarras en me déclarant coupable d’un oubli regrettable. Bon repas, compliments aux cuisinières. À mon plus grand étonnement rien ne laisse deviner le lien amoureux entre les deux lesbiennes. Richard s’étonne, lève les sourcils, me regarde, incrédule. Louise rompt définitivement la glace en invitant Richard à danser au salon. Je n’y coupe pas, j’hérite de Nora. Une Nora presque distante, juste amicale, plus intriguée par la présence de notre invité qu’enchantée de danser avec moi. Peut-être ennuyée ? Je fais l’article : c’est un veuf, un sentimental trop longtemps fidèle au souvenir de sa défunte épouse, qui mériterait de rencontrer une gentille femme, dans son genre, belle, friande de sexe « comme toi » . Ce serait un mari parfait, capable d’assurer un bon train de vie et une vie sexuelle épanouie. Je lui conseille de se montrer chaleureuse avec Richard, il pourrait venir compléter notre trio actuel si Louise et elle souhaitaient le coopter et rétablir un équilibre dans nos relations. - Deux hommes apporteraient plus d’élan dans nos nuits. En cette époque où l’on parle tant de parité, nous devrions être des prototypes de l’amour à quatre. Nora reçoit l’information avec une apparente indifférence, me flatte et me complimente pour ...
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