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La culotte de Cathy
Datte: 28/06/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... chez moi qu’il regarde à tel point ma queue était bandée. - Vas-y Pascal touches-toi ne sois pas gêné. Tiens regarde je ne me gêne pas moi. Il n’y a pas de mal à se faire du bien. Tu n’es pas d’accord, collègue. - Oui… oui… répliqua-t-il, en jetant un regard furtif du côté de mon bas-ventre. Discernant ma main en plein activité de masturbation sur ma queue. Cela eut pour but, de le décongelé un peu. À l’encourager d’en faire autant. Faisant à son tour tomber son pantalon. M’était à jour un beau sexe sans poils de bonne taille, rougi, surmonté d'un gland de la taille d'une balle de golf, et qui avait l'air tout aussi dur. Étrangement je n’avais ressenti aucun dégout. Au contraire, je l’avais trouvée même belle. À en être un peu jaloux de ne pas en possédé une si belle. - Tu as une belle queue mon garçon. Ce à quoi, il répondit, confus par un maladroit : - Euh...merci… À ce moment-là, j'étais comme transporté dans un état second. Ce par le cumul de sensations nouvelles, et fortes. Je lui fis part de la même faiblesse que lui. Celle d’humer moi aussi les culottes portées. Il n’en fallait pas plus pour que nous relations, chacun notre tour nos expériences passées. Me vint alors une question qui me brûla jusqu’alors les lèvres : - Tu as déjà couché avec une fille ? Sa réponse ne se fit pas attendre : - Je ne sais pas s'il faut que je le dise, mais non… je n’ai jamais eu ce plaisir là. - Cela n’est pas pour me moquer, mais tu connais donc les essences de sexe des femmes seulement ...
... à travers leurs culottes portées. - Oui ! On peu dire ça. J’ai même un peu honte de me confier à quelqu’un que je côtoie tous les jours. - Tu ne dois pas. Je retournais la culotte de Cathy qui traînait sur le coussin près du collègue. Fit apparaître l’empiècement souillé de mouille et l’appliquais sur le nez de Pascal qui ferma les yeux. Il renifla l’odeur âcre du tissu et lécha les sécrétions qui s’y étaient accumulées. Je fus témoins d’aller et retour de sa main sur sa queue. À en faire balloter ses grosses couilles à une allure effrénée. Je me régalais du spectacle sans savoir vraiment pourquoi. Son gland devenait rutilant. Je surpris ses cuisses se contracter, sa tête se pencher en arrière. Un soupir profond sortir de sa bouche légèrement entrouverte. Il esquissa un dernier souffle de soulagement avant qu'un jet de sperme très épais, et lourd dans un bruit humide se fit projeter violemment hors de sa grosse queue formant dans l’air comme un ruban avant de s’écraser sur le lino. Un second s’ensuivit tout de suite au premier, puis un troisième. Très vite quelques flaques juchaient le sol. D’un liquide crémeux qui m'attirait, qui m'intriguait. Je pouvais sentir son odeur, ainsi que celle forte de sa queue, qui terminait de déverser le fruit de sa jouissance. C’est alors que je pris place à côté de lui sur le divan. Me suis saisis d’une des cinq bougies qui étaient ancrées sur le chandelier et me la fourra sans aucune peine dans le fion. Tant mon excitation avait dilaté mon ...