Morgane, ma patronne (2)
Datte: 28/06/2021,
Catégories:
Hétéro
Elle est penchée en arrière contre la porte avec ses jambes largement écartées. Elle respire vite en me regardant avec un air de défi. Sa poitrine se soulève à chaque respiration et ses tétons dressés se dessinent et pointent outrageusement sous son chemisier légèrement transparent. Sans un mot, je fais glisser mes doigts entre les boutons de son chemisier pour le tirer hors de sa jupe. Puis, violemment, je fais valser les boutons dans toute la pièce. — Oooohh, putain ! ouiiiii ! Crie-t-elle. Je glisse son chemisier sur le bas de ses épaules et j’admire son corps. Je pensais que ses seins étaient petits mais j’ai eu tort. Ses seins sont comme deux pamplemousses, bien ronds, et je distingue un peu ses aréoles au contour sombre qui entourent ses tétons tous durs qui déforment le fin tissu de son soutien-gorge. Je me penche vers elle pour l’embrasser entre ses seins, pour sentir sa peau douce et parfumée, et je remonte jusqu’à son cou. Elle commence à gémir légèrement quand j’embrasse et lèche sa nuque, ses lobes d’oreilles, et le haut de son dos. Je prends mon temps et je laisse courir ma langue sur son épaule, sur son bras, pour embrasser la chair tendre au creux de son coude. Puis je m’agenouille devant elle et j’embrasse légèrement son ventre. Il est impeccable, tout comme son cul qu’il me tarde de voir. Je tourne plusieurs fois autour de son nombril avec ma langue, avant de plonger dedans. — Huuummm... comme c’est gentil... Roucoule-t-elle quand je sonde le charmant creux ...
... de son nombril et que mes mains passent sous sa jupe pour palper son cul. Mes mains serrent ses fesses nues sous la jupe car elle doit porter un string. Son cul est chaud et lisse et mes doigts s’enfoncent dans sa chair molle. J’ai envie de retirer son slip avec mes dents, comme je l’ai souvent rêvé, mais je me retiens. Me relevant, je lui retire son soutien-gorge. Ses seins sont parfaits, accrochés haut sur son torse. Pour ses 35 ans ou peut-être plus, ils ne s’affaissent pas. Ses mamelons grumeleux, brun clair, entourent de beaux tétons roses et durs. Ma bouche tombe sur son sein droit et je lèche son aréole qui frissonne. Morgane se laisse faire, la tête appuyée contre la porte, sans rien dire. Après plusieurs coups de langue encerclant ses tétons je ne peux attendre plus longtemps, et j’aspire dans ma bouche ce merveilleux bouton de chair pour le titiller avec ma langue. Immédiatement Morgane glapit de plaisir. — AAAaaahh, ouiiiiiii ! Bouffe mes seins ! Ma bouche va d’un sein à l’autre. Je suce, je grignote et je pince ses tétons entre mes deux doigts et mes dents. Elle gémit presque sans arrêt. Je la fais languir car je veux la rendre folle de désir pour moi. Enfin, je fais tomber sa jupe et j’ai sous mes yeux un petit triangle noir et soyeux, attaché avec une chaînette en soie, qui recouvre sa chatte. — Tu es une déesse, Morgane. — Merci, mais je vais te faire des choses qu’une déesse ne te fera jamais. Des choses très cochonnes et perverses. — D’accord, mais pas avant ...