Ma coloc' Nina - Ch. 5
Datte: 28/06/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
CHAPITRE 5: LE DERNIER REMPART Dix minutes plus tard, nous étions de retour de notre promenade matinale, et déjà dans le hall de l’immeuble, les festivités ont commencé. J’ai poussé Nina contre les boites aux lettres et ai commencé à l’embrasser. Les lèvres, puis le cou, puis les épaules. Ma main est directement descendue entre ses cuisses, et j’ai pu constater que sa fente était toujours aussi poisseuse que depuis notre aventure sur les quais. Du coup je n’ai eu aucun mal à glisser deux doigts dans son sexe, puis à remonter sur son clitoris. Je l’ai branlée jusqu’à ce qu’elle se mette à gémir et à avoir des soubresauts. _ Interdit de jouir sans ma permission, désormais, lui ai-je dis en retirant rapidement mes doigts. Allez, monte. J’ai laissé sa jupe remontée sur ses hanches et lui ai fait monter les deux étages ainsi, au risque de croiser un voisin. La suivant de très près, je lui caressais la croupe et par moment, lui donnait une fessée. Une fois dans l’appartement, je lui ai ordonné de m’attendre dans la chambre, nue et à quatre pattes sur le lit. J’ai récupéré des sangles dans un placard du salon, et quand je suis arrivé dans la chambre, Nina m’attendait comme je le lui avais demandé. Entièrement nue, elle faisait face au mur, tandis que ses deux orifices me faisaient face à moi. J’ai souri mais n’ai pas prononcé un seul mot. Je me suis seulement avancé vers elle, et minutieusement, l’ai mise dans la position que je désirais. Ses jambes écartées étaient, chacune, ...
... attachées par une sangle aux pieds du lit, tandis que ses poignets étaient attachés à ses chevilles. Dans cette position, sa poitrine reposait lourdement sur le matelas, mais son cul pointait outrageusement vers le plafond. J’ai achevé mon œuvre en sortant le string que j’avais encore en poche, et l’ai enfoncé dans sa bouche. Non pas que je ne voulais pas entendre ses bruits, puisque je trouvais ça terriblement excitant. Mais je voulais qu’elle s’habitue. C’était le genre de dégradation et d’humiliation qu’elle allait subir. Je l’ai laissée mariner un moment, tandis que je me déshabillais moi aussi. J’ai fait le tour de son corps, la frôlant du bout de mes doigts, et je lui ai envoyé une fessée. Puis une autre. A genoux derrière elle, ma main gauche gentiment posée sur l’intérieur de sa cuisse, je faisais claquer la droite sur son cul à un rythme grandissant. Je ne me suis arrêté que lorsque sa peau a commencé à rosir. J’ai passé mon doigt entre ses cuisses pour vérifier, et en effet, Nina était toujours aussi humide. Les claques reçues ne l’avaient pas refroidie, c’était même surement le contraire. Aussi j’ai continué à jouer avec ses fesses, en les malaxant, sans précaution, en les griffant. Mais dans le même temps, je n’ai pas su résister à l’invitation de ces deux orifices, et j’ai plongé la tête la première entre ses jambes. C’était la première fois que je goutais à son sexe directement. C’était plutôt étonnant, car en temps normal, dans une relation dite normale, ce serait ...