Ecole du sexe (11)
Datte: 28/06/2021,
Catégories:
Mature,
Inceste / Tabou
... Son corps, fraîchement lavé, ne gouttait plus puisqu'essuyé par la serviette qu'elle portait sur ses épaules.-Je vois que tu penses à elle, dit Alice d'un ton que je ne sus qualifier.-Ne sois pas jalouse, Alice. Véronica est sublime, mais pas plus que toi. Je peux t'assurer que c'est simplement le mystère de notre première fois qui m'excite. Je ne m'arrêterais pas pour autant de te désirer.-Alors, si je te demande de t'occuper de moi avant d'aller les voir, tu le ferais, me dit-elle avec un nouveau regard aguicheur.Lorsque je captais ce regard, mon érection n'en fut que plus intense et, par conséquent, plus douloureuse.-Viens là, lui dis-je en l'attirant à moi.Elle sourit et se laissa mener jusque dans la salle de bain. Là, je la retournais et la laissais prendre appui sur le mur des douches. Je posais alors mon gland sur la paroi de ses lèvres avant qu'elle ne me repoussât légèrement.-Non, pas par là, cette fois, m'expliqua-t-elle. J'ai envie que tu passes par l'autre.Ravi de satisfaire cette délicieuse envie pleine de luxure, je collais mon gland contre son rectum et appuyais. Malgré mes efforts et malgré le fait qu'Alice n'avait, je présumais volontairement, pas sécher la raie de son fessier, je n'arrivais pas ...
... à passer par ce couloir sombre et étroit. Alice l'avait remarqué et, aussitôt, elle se retourna, se mit à genoux et, rapidement, me suça le pénis. Cette fellation fut rapide mais efficace : mon gland était couvert de salive. Satisfaite, Alice se releva et reprit sa position initiale. Cette fois-ci, lorsque je plaçai mon gland à l'entrée de sa grotte secondaire, mon pénis entra comme dans du beurre sous un couinement d'Alice. Je donnais alors de violent coups de reins afin de la faire jouir davantage.-Oh oui, vas-y Bastien ! Plus fort ! Plus vite ! Lâche-toi !Sous les encouragements de ma partenaire, je la pénétrais de plus en plus férocement. J'agrippais férocement ses hanches et la ramenais vers moi chaque fois que j'enfonçais mon pénis en elle. La pénétration n'en était que plus profonde et plus puissante, si bien qu'à chaque fois que mon torse claquait ses fesses, à chaque fois que mes testicules frappaient son vagin trempé de cyprine, elle était propulsée contre le mur dans un cri d'extase. Notre petit jeu dura facilement dix minutes au bout desquelles je finis par exploser dans son rectum. Je sortis alors de sa grotte et, après l'avoir laissée respirer pendant quelques secondes, je l'embrassais fougueusement.