Rencontres solitaires
Datte: 10/11/2017,
Catégories:
f,
h,
douche,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
J’avais dix-sept ans et j’étais toujours vierge. Une éducation catholique m’incitait fortement à le rester, le mode de vie familial ne me donnait pas beaucoup d’occasions de ne plus l’être, limitant les sorties au-delà des heures propices. C’est donc naturellement loin des dangers supposés, au cœur même du domicile familial, que cette histoire m’est arrivée, me laissant un souvenir merveilleux, et changeant le cours de ma sexualité jusque là, restreinte aux plaisirs solitaires. Mon père, médecin, avait été sollicité par le conseil de l’ordre pour accueillir chez nous un étudiant en médecine qui passait le concours de l’internat, et l’étudiant s’était révélé s’appeler Sophie, et être une grande et belle jeune femme de 1.75, brune aux cheveux longs, dotée d’un regard bleu cobalt qui semblait vous radiographier en permanence tant il était intense. Arrivée tard un soir, sa poitrine généreuse, sa démarche fière et cambrée, ses jambes de déesse m’ont fait une forte impression. Elle était allée se coucher très vite, devant commencer le lendemain les épreuves du concours. Dans mon lit, je me rappelle en fermant les yeux son parfum au goût de miel, très envoûtant, et sa voix étrangement grave… et je commence à me caresser en pensant à ce corps très excitant que je rêve alors de toucher, de caresser, de pénétrer. Mon plaisir solitaire est comme un marchand de sable pervers qui m’accompagne depuis ma puberté. À demi endormi, une main libère de mon pyjama mon pénis en érection, tandis ...
... que l’autre effleure l’intérieur de mes cuisses, remontant jusqu’à mes testicules, les prend en main fermement, puis relâche la pression et va taquiner l’espace qui sépare la base de ma verge et mon anus, très sensible. Insensiblement, j’écarte mes jambes comme pour attirer le plaisir entre elles, pendant que ma première main s’active sur mon sexe et le met en mouvement, décalottant le gland en douceur, le couvrant à nouveau, puis accélérant le mouvement, tirant sur sa peau avec force, à la limite de la douleur. Les conséquences ne se font pas attendre, et je sens le plaisir poindre progressivement. Bien lubrifié maintenant, l’organe magique se démène au rythme de mes désirs, des images de Sophie qui s’accumulent dans mon esprit rêveur. En sous-vêtements, elle maintient ma tête entre ses cuises, et ma langue avide se fraye un chemin sous l’élastique de sa culotte humide, pour titiller ses grandes lèvres, puis son clitoris que mon insistance finit par faire sortir de son capuchon, comme en érection. Des films, des histoires lues çà et là m’ont initié à ces paysages pourtant jamais approchés dans la vie réelle. Ma main se crispe maintenant, le plaisir n’est plus loin et ma respiration en dit long sur mon excitation. J’hésite un instant à faire durer encore cet état fragile, puis je me résouds à libérer mon plaisir, et un orgasme silencieux raidit mon corps pendant que le liquide aux vapeurs érotiques jaillit sur mon bas ventre, libérant la pression accumulée. Sophie est déjà ...