Marchand d'illusions 5
Datte: 28/06/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Grégoire n’osait pas en demander autant la première fois. Il peut se féliciter du retour de Marie. Et Marie tente d’arriver à ses fins en se livrant le moins possible. L’ardeur de Julie lui facilite la tâche, et c’est tant mieux. Elle administre des claques sur les fesses du représentant en lingerie et jouets sexuels. Dommage qu’elle n’ait pas vu de martinet dans les valises. Elle tape de bon cœur pour précipiter la prochaine éjaculation. Le bienheureux sodomite encouragé par les coups de l’une et les cris de douleur de l’autre va bon train dans les entrailles forcées, rabote joyeusement les parois des intestins. Il profite au maximum de cette aubaine. Il peut se féliciter d’avoir levé ces deux cochonnes et approuver leur complicité. - Ah! Ma belle, que tu es serrée de ce côté-là. Je ne vais pas tarder à lâcher la purée. Il lime, lime et finalement aboutit…Oh!…han…han, prends ça…han…et ça. Quel bon coup! Grégoire glorieux ne doute pas de traiter bientôt Marie comme cette petite dévergondée de Julie. Vraiment ces deux salopes ont le feu au cul, c’est une veine incroyable. Et crédules avec ça, les deux connes.! Il va leur montrer ce qu’est un homme, un vrai. C’est du moins l’impression qu’il laisse en se calant confortablement au plus profond du trou à caca de la plus jeune. La face grimace, une nouvelle fois, il signale l’évacuation de sperme par un grognement et il devient raide et immobile, collé aux miches de la gamine de vingt ans.. Il la remplit par tous les trous. ...
... Cette fois Marie le laisse sortir. Le héros a besoin d’un peu de repos après cette sodomie. Marie n’a plus à craindre le retour des pêcheurs maintenant qu’elle les sait dans la cuisine. Elle entre dans le jeu imposé par son mari et tient à le revoir réconcilié avec elle. - Ne bougez pas, je vous prends en photo. Attends je vais te nettoyer. Elle revient avec un saladier plein d’eau tiède, presque chaude pour ne pas créer de choc thermique, et avec un gant de toilette pour procéder à la toilette du manche souillé de sécrétions blanches veinées du brun de la couleur locale. Elle lave, insiste, fignole, va et vient longuement avec un but précis, redonner finalement vie, rappeller le sang dans le corps caverneux. La bite enfle, redevient dure et raide, Marie frotte le gland contre la vulve encore inassouvie de Julie, énerve le garçon et la fille et choisit le moment propice pour expédier au fond du gouffre la matraque ragaillardie. Julie râle de satisfaction, Grégoire est fier de pouvoir mener cette nouvelle attaque. Il se sent désiré et en forme. Mais avec le temps, la chose devient plus laborieuse. Il lime, frotte les parois, cherche à toucher l’utérus, serre les nichons de la fille comme des poignées de maintien, lève ses fesses au plus haut pour frapper du plus loin, sur le parcours le plus long dans le tube rendu gluant et chaud par ses précédents dons de foutre. Il souffle fort, ralentit malgré lui la cadence, comme l’athlète qui ne sent plus ses jambes à la fin d’une longue ...