La première sodomie de Lucie
Datte: 29/06/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
amour,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
aliments,
init,
historique,
Le dimanche Lucie s’éveilla la première aux côtés d’Alexandre. Tendrement elle le couvrit de baisers et comme, à son goût, il ne réagissait pas assez vite, elle se plaça au-dessus de lui, s’amusant à le chatouiller de la pointe des seins, qu’elle promenait sur son ventre et sa poitrine. Il gardait les yeux fermés pour qu’elle prolonge son petit jeu, mais un sourire finit par le trahir. — Ah, tu en profites, mon filou. Elle se leva soudain et sortit de la chambre, abandonnant Alexandre à son érection matinale, mais elle revint bientôt un pot de miel à la main. — Il y a une chose que j’ai envie de faire depuis longtemps… Du bout de l’index trempé dans le miel elle lui caressa le sexe, et quand il en fut entièrement recouvert, elle l’engoula presque entier. Alexandre lui lançait des regards émerveillés tandis qu’à petits coups de langue elle le préparait pour la suite. Quand tout le miel fut avalé, d’autorité elle enfourcha son amant et, après s’être langoureusement frottée sur lui, empoigna son sexe et le glissa en elle. Variant le rythme de ses mouvements, se penchant en avant ou se redressant, elle recherchait toute la gamme des voluptés de cette position. — Maintenant, à toi de travailler, lui dit-elle en se plaçant à quatre pattes à côté de lui. Il la prit ainsi et elle se laissa aller, le visage dans l’oreiller, tout en se caressant par en dessous. Comme elle approchait de l’orgasme il commença à lui caresser l’anus du bout de son index droit mouillé de salive. Elle ...
... répondit par des soupirs d’aise et le massage se fit plus pénétrant, jusqu’à ce que le doigt y soit tout entier. À travers la mince cloison il sentait les allées et venues de son sexe dans le vagin, et le renflement du gland à chaque passage. Elle manifestait son plaisir de plus en plus vivement. Soudain, saisie par l’orgasme, elle se laissa tomber à plat ventre. Retirant son doigt, il la suivit pour rester en elle. Ils étaient l’un sur l’autre, encore en proie à leurs spasmes quand Alexandre vit une larme couler sur la joue de sa maîtresse. — Tu pleures, dit-il, contrefaisant l’inquiétude.— C’était tellement bon… Elle semblait enfin prête pour d’autres jeux qu’elle avait jusqu’alors dédaignés. La prochaine fois serait la bonne. Allongée sur le dos elle humait avec délices une pomme prise dans la corbeille posée par Alexandre à leur chevet — L’odeur de mon pays était dans une pomme, murmura-t-elle, comme pour elle-même.— Tu fais des alexandrins comme tu respires.— Voilà où cela me mène, d’aimer un Alexandre.— Et tu respires si joliment, dit-il en caressant ses petits seins. Comme toutes les jeunes filles de bonne famille elle avait des cahiers remplis de vers, illustrés d’aquarelles et de dessins à l’encre de Chine par une technique qu’elle se flattait d’avoir inventée. À la différence de ses consœurs, futures épouses de notables et mères de familles nombreuses, elle avait un réel talent. — Savoure-la bien cette pomme, il devient de plus en plus difficile d’en trouver à mesure que ...