1. Les Pâques de Lucie et Alexandre... 14 juillet en canot...


    Datte: 29/06/2021, Catégories: fh, hplusag, couple, vacances, sport, campagne, bateau, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral fsodo, historique, humour,

    ... rencontre. Il se pencha pour l’embrasser : — Bonjour enculée, lui glissa-t-il à l’oreille.— Bonjour lèche-cul, répondit-elle tout bas.— Un jour j’écrirai un dictionnaire de tous ces petits mots injustement méprisés…J’en ai déjà le titre.— Dis moi…— Le dictionnaire des ’tits mots jolis.— Charmant. — Tu ne quittes plus tes vêtements de garçon, dit Alexandre.— Ne sois pas comme mon père. Si tu veux que je te donne des leçons de cyclisme il faut que je m’ habille en conséquence.— En culotte me direz vous, on est bien mieux à bicyclette, mais moi je dis que sans frou-frou…— Je me plais bien ainsi. Aurais tu peur de passer pour un inverti avec un aussi joli jeune homme à ton bras ?— Je n’y avais pas pensé…— Ne me trouves-tu pas séduisante ?— Si, le plus endurci des pédéraste n’y résisterait pas. Il se laisserait reconduire dans le droit chemin, du latin rectus, recta…— Oh, ça va, j’avais compris ! Ce n’était pas du tout le sens de ma question.— Pardon ?— Je voulais dire séduisant. Crois-tu que je pourrais plaire à une femme ? S’y tromperait-elle ?— C’est une idée qui ne te lâche pas.— Je l’avoue…— T’ai-je à ce point dégoûtée des hommes ?— Bien au contraire, après toi aucun homme ne pourra me satisfaire. Donc je dois changer…— Après moi ?— C’est une simple hypothèse.— Jeune fille vous jouez avec mon cœur… Comme un chaton avec sa pelote de laine.— Sans les griffes ! Dis moi, pourrais-je plaire à une femme ?— Tu le sais mieux que moi, je ne suis qu’un homme. Demande plutôt à ton ...
    ... amie Marie.— Vilain rancunier ! Ils reprirent la navigation, lui à la barre, elle au milieu du canot, les cheveux au vent, drapée dans ses carreaux. Il aurait voulu la peindre. De temps à autre, après un coup d’œil alentour, elle laissait glisser son vêtement en souriant, découvrant une épaule, puis deux, se dissimulait à nouveau, puis recommençait. Un sein, l’autre, les deux, puis écartant les pans de la nappe elle se dévoilait entièrement pour un instant. — Tu as de la chance que je doive tenir la barre !— De la chance ? Mais tu bandes !— Viens plus près. Elle s’exécuta et prit son sexe dans la main. — Voilà tu barres le bateau et moi je te barre !— Très bien, continuons la leçon. Tout en douceur quand le vent est faible, pour ne pas ralentir le bateau. Vers toi tu abats. Dans l’autre sens tu loffes. Attention, c’est sensible !— Je vois ! Ils approchaient du village de Thomery. Amarrés à une racine de saule, ils déjeunèrent à bord du canot protégé du soleil. Quelques promeneurs qui passaient non loin de là les empêchèrent de pousser plus loin leurs jeux. Mais au moment de repartir Alexandre laissa la voile ferlée et lança un avertissement: — Maintenant mademoiselle il n’y a plus qu’à suivre le courant et je peux lâcher la barre un moment !— Ciel, qu’allez vous me faire ? Elle fit mine de se réfugier à l’avant, s’adossant au pied du mât et cachant sa tête dans la nappe qui l’enveloppait toujours. Deux libellules accouplées passèrent en volant au ras de l’eau. Le bateau ivre ...