Le vieux chai
Datte: 30/06/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
hagé,
couple,
extracon,
cocus,
fête,
Voyeur / Exhib / Nudisme
cocucont,
... dans la salle de bain. Quand elle est venue dans le lit, j’ai vu avec plaisir qu’elle avait laissé les traces violettes sur sa poitrine, elle a juste un peu soigné ses écorchures. J’ai posé ma joue sur son sein gauche et l’odeur forte du vieux vin est revenue, odeur d’alcool et de bois, toutes les images sont revenues d’un bloc, les corps qui s’agitent, son cri… J’ose à peine toucher son sein droit. Comment ont-ils pu torturer ce sein magnifique ? Moi qui aime l’effleurer, sentir sa rondeur, le presser à peine, juste pour en faire ressortir le bourgeon, alors que je l’ai vu se faire tordre violemment, j’ai vu des doigts s’enfoncer profondément dans sa chair, Jules le saisir à pleine main, le serrer sauvagement et en faire ressortir la pointe rose comme l’extrémité d’une baudruche prête à éclater et elle n’a rien dit… le plaisir dans la souffrance ! Heureusement je n’ai pas le même problème entre ses cuisses, peut-être parce que je n’ai pas vu de près ce qui s’est passé, je n’ai pu que le deviner, même si j’ai très bien compris tous les instants les uns après les autres. Quand elle a senti que je voulais lui faire un suçon moi aussi, à côté de celui de Jules, elle s’est d’abord un peu crispée, et puis elle a dû se dire que j’y avais bien droit moi aussi, et elle m’a donné son cou, elle me l’a offert largement en penchant sa tête de ...
... côté, et simultanément elle m’a offert son sexe aussi en écartant ses cuisses en grand et en relevant son pubis, comme si elle me disaitprends-le, il est à toi maintenant, totalement à toi… Le plaisir de se retrouver après ces événements chargés d’émotions et d’érotisme, la chaleur de son vagin qui m’enserre, qui vibre doucement. Bien sûr, je ne pense plus avoir la puissance de Norbert, mais c’est bien autre chose, c’est le plaisir d’être l’un dans l’autre, de se retrouver. D’ailleurs Norbert n’a certainement rien ressenti de ce plaisir sensuel. Pressé de tirer son coup, il n’a sûrement rien senti de ce gant de velours qui enserre. Jules, lui, a peut-être ressenti cette chaleur, cette moiteur, rajoutées à l’excitation du moment, c’est ce qui l’a fait jouir. J’imagine son gland cramoisi qui gicle, qui remplit le fond du vagin et je me sens partir moi aussi. Moi aussi j’éjacule, je suis moi avec les couilles tordues de plaisir, mais je suis aussi Norbert qui s’enfonce, je suis Jules qui explose. On remplit le vagin de Martine tous les trois, elle me serre très fort contre elle, je sais bien qu’elle y pense elle aussi et qu’elle sait que j’y pense. Je suis resté longtemps sur elle, dans elle, on n’a pas envie de se séparer, on veut se garder le plus longtemps possible l’un dans l’autre, s’appartenir à nouveau tous les deux. Ne faire qu’un…