Jumelles de coeurs (1)
Datte: 30/06/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Chapitre 1 : Pleurs et plaisirs Vendredi soir 22 h, Je ne sais plus quoi penser. Qui est-il au juste, ce mec qui m’a tant bouleversée ces six derniers mois, qui a fait de moi une femme, et qui pourtant est parti, du jour au lendemain et sans un mot? On est vendredi soir, le premier du mois, le jour où il m’emmenait au restaurant, me couvrait de cadeaux, faisait de moi une femme comblée puis m’emmenait dans une magnifique chambre d’hôtel et me faisait jouir au point d’en oublier mon nom. Et pourtant, étais-ce vraiment le cas? Ou mon esprit et mon cœur ne faisaient-ils pas qu’un pour m’embrouiller et me faire croire qu’un cuni et un missionnaire suffisaient à m’emporter? Je devrais peut-être me présenter. Je m’appelle Clara, j’ai 18 ans et en juin prochain je passerai enfin mon BAC avant de quitter mes parents pour étudier l’architecture à Paris. Petite et mince (1m62, 48kg), mes années de gym m’ont tout de même offert des fesses fermes et bombées, qui malgré mon 85b m’apportent de nombreux compliments de la part des hommes. Mais ce n’est pas tout ce que je partage avec elle. Les mêmes yeux bleus, les mêmes cheveux blonds, ma sœur Ina et moi nous ressemblons comme deux gouttes d’eau. Si similaire, et pourtant si différentes. En effet, si j’ai attendu mes 17 ans avant d’embrasser quelqu’un, elle ne se cache pas depuis la fin du collège de sortir avec de nombreux garçons, qu’ils soient de notre entourage ou simplement rencontrés en soirées. Mais jamais personne n’aurait osé ...
... diffuser une rumeur. Si admirée, si indépendante, chacun l’aimait, chacun l’adorait. Moi si timide, je n’ai jamais su sortir de son ombre. Et me voilà aujourd’hui, planquée sous ma couette, à pleurer comme un enfant pour un homme qui probablement, lui, m’avait considérée comme une pute. Il disait vouloir faire de moi sa princesse, sa femme, me faire des enfants. Mais ce connard m’avait caché SA femme, SES enfants. Et lui demander de m’être fidèle, de la quitter, qu’elle idiotie. Les mots "pour une pute" ont été crachés, et il est parti. Son numéro de téléphone n’est plus attribué, mes emails ne trouvent jamais aucune réponse, il n’est plus là, et pour de bons. Dans mes pensées, je n’ai pas tout de suite reconnu ces petits gémissements familiers. Seule ou avec un autre, ma sœur prenait en tout cas son plaisir quotidien du soir. Seule probablement, il n’est que 22h, et elle va sortir après. Peut-être sa façon de se préparer, de se détendre, avant une nuit qui finira tard, et certainement ailleurs que dans son lit. Les sons que j’entends à travers le mur quant à eux ne laissent pas de place au doute. Mais est-ce de la gêne que je ressens, ou un peu d’envie. Après tout, moi aussi je devais prendre du plaisir ce soir. Un bruit de clavier, et une voix, la sienne, la même que la mienne. "Hummm, tu aimes ça bébé?" Comment est-ce possible? Je le croyais seule. Je me lève et sors de ma chambre. Je me dirige vers sa porte. Elle est entrouverte. Stella est dans son lit, nue, et se masturbe ...