Venise
Datte: 10/11/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
couple,
vacances,
voyage,
bateau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
Masturbation
— Mais pourquoi Venise ? demanda Gaëlle.— Oh, tu sais, quand il s’agit de choisir un cadre chouette pour une conférence, les grosses huiles ne se gênent pas, répondit Jérôme. Mais tu viens avec moi quand même ?— Oui, bien sûr, mais je paie mon billet d’avion. Je ne veux rien devoir à ces gens-là. Dans le vaporetto, le bateau-bus qui les transportait vers le Lido, où se trouvait leur hôtel, Gaëlle se retourna vers Jérôme et déclara : — Mais c’est exactement comme sur les cartes postales !— Tu m’as coupé la parole, dit Jérôme en souriant. J’allais dire exactement la même chose. Ils s’installèrent dans leur chambre, firent doucement l’amour et s’endormirent. Le lendemain matin, Jérôme se prépara pour subir une journée entière de discours. Gaëlle mit une robe légère en coton, mi-mollet. — Je suis assez présentable ? demanda-t-elle à son mari. La plupart des tableaux que j’ai envie de voir sont dans des églises. Jérôme regarda sa femme. Il ne se lassait jamais de l’examiner avec son mètre soixante-dix, ses cheveux blonds et ses yeux verts, sans parler de sa taille fine et ses petits seins mignons. — Fais voir ce que tu as en dessous. Je parie que là, tu es moins sortable ! Gaëlle remonta sa robe jusqu’à la taille et révéla un mini-slip qui ne cachait rien des contours de son sexe épilé — Ah ! Quand même ! dit Jérôme, fais voir encore un peu. Gaëlle releva encore plus sa robe, jusqu’au menton. Comme d’habitude elle ne portait pas de soutien-gorge et ses petits seins nus avaient ...
... les mamelons dressés. Jérôme sourit. — Même quand ce n’est que pour moi, ça te fait de l’effet de t’exhiber, on dirait.— Que ce soit pour toi ou au milieu d’une foule d’inconnus, tu sais que ça m’excite énormément chaque fois que je me montre. La robe, ça va ? Elle n’est pas trop peu sexy pour toi ?— Non, elle offre des possibilités. Tiens, mets-toi devant la fenêtre. Gaëlle s’exécuta. Le soleil qui inondait la pièce rendit sa robe transparente. — Super ! s’enthousiasma Jérôme. On voit tout ! Dommage que j’aie une rencontre avec mon chef dans une demi-heure, dit-il. Sinon… Tu me tentes, comme toujours, Gaëlle.— Et moi, ça me soulage de le savoir. Allez, dégage ! Moi, je vais prendre le vaporetto. À ce soir. Quand elle regagna l’hôtel après une journée hyperculturelle, Gaëlle se retrouva face à un Jérôme fatigué et grognon. Elle se déshabilla, poussa son mari sur le lit et défit son pantalon. — Oh ! le pauvre petit. Il est tout mou ! s’exclama-t-elle. Ah, quand même ! Il commence à se réveiller, ajouta-t-elle, remarquant que l’érection de Jérôme commençait à prendre de l’ampleur et de la rigidité. Bientôt elle put se mettre à cheval sur lui et se laisser pénétrer. — Ah, ça fait du bien, dit Jérôme. Les raideurs de la journée disparaissent.— Et la raideur du soir les remplace, heureusement, blagua Gaëlle. Bouge pas. Laisse-toi faire. Elle ferma les yeux pour mieux se concentrer sur les sensations dans son sexe. Elle fit durer le plaisir et ne permit à Jérôme de jouir qu’après de ...