MA FEMME, CLAIRE – Tranches de vie 01
Datte: 30/06/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... vie courante, j’ai utilisé les objets les plus faciles qui pouvaient ressembler à un sexe : des carottes et des navets, des bananes épluchées ou non, des concombres de différentes taille et même des bougies, une, puis deux, trois ou même quatre, réunis pour pénétrer son minou. Il m'a fallu très longtemps pour qu'elle se libère complètement et c'est seulement alors qu'elle avait à peine vingt-deux ans que j'ai fait lire à Claire des textes érotiques classiques, puis des romans pornographiques. Elle se masturbait en lisant et nous avons souvent fait l'amour, interrompant ainsi nos lectures communes. Après, nous parlions de ce qu'elle avait lu et de son excitation à la lecture de certaines situations. Nous échangions sur ses fantasmes, comme beaucoup de femmes très difficilement. C'est comme cela que j'ai pu commencer à lui suggérer, d’abord prudemment, puis, souvent lorsque nous faisions l’amour, de mettre un inconnu dans notre lit pour qu'elle découvre une autre verge que la mienne. Elle s’est refusée pendant très longtemps avant que je réussisse à lever les barrières de sa résistance à cette idée. Pour cela, il a fallu passer par de nombreuses exhibitions avant de pouvoir sauter le pas. Durant les premières années de notre mariage elle n’acceptait que difficilement la fellation qu’elle n’exécutait, et encore, incomplète, que par reconnaissance de la jouissance que je lui donnais ...
... avec ma bouche ; puis, lors d’un séjour au Maroc, elle a avalé ma semence par accident et elle s’est complètement désinhibée sur cette pratique. Pour la sodomie, cela a été plus difficile. Elle y a pris progressivement du plaisir, quelquefois avec un ou plusieurs doigts, ou même un petit gode dans l’anus et ma bite dans sa vulve. Depuis le début de la trentaine elle jouit du cul aussi bien sinon mieux que dans sa chatte. Lorsqu’elle accepta, à la quarantaine, de se faire prendre devant moi par un autre homme puis, à la suite que nous lui fassions découvrir une double pénétration, elle obtient sa jouissance curieusement plus de sa pénétration anale que de la vaginale, mais son plus grand plaisir lui vient de ses doigts ou des langues qui sollicitent son clitoris. D’ailleurs, si elle a eu beaucoup de mal à se masturber les trois ou quatre premières années. Elle y prend , à présent, de plus en plus de plaisir, même devant des voyeurs occasionnels, jouissant très longtemps de ses doigts enfouis dans la chatte et astiquant furieusement le clito ; recommençant après chaque orgasme jusqu’à l’épuisement pendant quelquefois près d’une heure. Elle qui ne s’était jamais masturbée, adolescente ou jeune fille, a découvert et apprécie maintenant cette pratique que je l’ai presque forcé à faire. Elle y prend un plaisir fou, trop heureuse que je la vois prendre son pied pendant que je la photographie.