Le Maître
Datte: 30/06/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
facial,
Oral
attache,
yeuxbandés,
fouetfesse,
... banderez les yeux et lui attacherez les poignets dans le dos. Je ne veux, en aucun cas, être reconnu. Et j’ai encore un certain nombre d’autres conditions que j’ai notées. Prenez… Il glisse une feuille sur son bureau jusque sous le regard de Dyna. Celle-ci prend et lit : Lorsqu’elle a fini de lire, il ajoute : — Bien entendu, une propreté absolue est de rigueur. Dyna est sidérée : — Pardon Maître. Vous me demandez de déshabiller ces femmes et de les examiner sous toutes les coutures avant de les conduire à vous.— Si elles correspondent aux critères, oui. Sinon, vous les renvoyez avec un petit dédommagement.— Mais, je n’ai jamais fait cela ; à part moi, je n’ai jamais vu ni touché de femme nue.— Eh bien, il y a un début à tout… Et puis, vous gagnerez la même prime que la dame. Cette prime est d’au-moins deux-cents euros mais peut être plus importante en fonction de la qualité du « service » rendu. À cet effet, vous trouverez de l’argent liquide dans le tiroir de votre bureau.— Et les premières… dames, devraient arriver quand ?— Comme je ne voulais pas vous bousculer (« Tiens, c’est nouveau, ça ! »), la première arrivera demain à 14 h et ensuite, une toute les heures. Et ne faites pas ces yeux là, j’ai encore de la vitalité ! Et puis, vous allez certainement en renvoyer quelques-unes. Ensuite, je garderai les deux ou trois meilleures. (« Comme du bétail ! »)— Bien Maître… ce sera tout ?— Oui, allez. Et ramenez-moi le dossier sur le Paraguay. (« Ah ! il est redevenu normal : ...
... pas de s’il vous plaît… ») Cela fait, elle s’assoit à son bureau et réfléchit à la mission qui l’attend. Après un premier sentiment naturel de gêne, elle se rend compte que la perspective de cet extra la trouble ; elle n’a jamais eu d’expériences avec des femmes, même pendant son adolescence et, si la pensée lui a sans doute traversé l’esprit, elle ne s’y est jamais attardée. Mais l’envisager l’émoustille ; elle passe une main sous sa jupe, glisse un doigt sous son shorty et se donne un petit bonheur vite fait. Après ces quelques instants, elle reprend son travail de classement. La journée passe lentement rendue plus terne par la perspective d’un lendemain palpitant. Énervée, elle dort mal et fait un rêve pesant où, dans une foire, elle se trouve devant une rangée de femmes à qui elle examine les dents et soupèse les seins. Elle se réveille en sueur, la bouche pâteuse. Après avoir bu un demi-verre d’eau, elle parvient à se rendormir pour être réveillée difficilement à 7 h par la radio. Arrivée dans son bureau, elle trouve dans un angle une petite table surmontée d’un miroir avec un nécessaire de produits de maquillage, une psyché dans laquelle on peut se voir en pied, un masque en cuir noir pour occulter les yeux et une paire de menottes en acier avec leur clé. Elle déballe les produits et les dispose élégamment sur la table ; en reculant pour voir l’ensemble, elle se dit qu’une rose serait nécessaire pour rendre ce petit coin encore plus agréable et féminin. Elle en fait part ...