Ma première fois
Datte: 30/06/2021,
Catégories:
fhh,
cocus,
fsoumise,
Oral
préservati,
pénétratio,
lettre,
confession,
cocucont,
... falloir te mettre un peu plus à l’aise, Innina… Calmement, il enlève ma robe, qui s’en va choir sur un fauteuil, dévoilant ainsi mon bustier violet. Mes seins, aux tétons toujours cachés, sont présentés presque comme sur un plateau ! Tout de suite, Éric pose ses mains sur mes douces masses molles : — Que c’est beau et que c’est bon ! Puis il dépose divers baisers bien appuyés sur la poitrine. Néanmoins, visiblement, ça ne lui suffit pas, car abaissant un peu mon bustier, mes tétons libérés surgissent à l’air. Fier de lui, Éric contemple ma poitrine offerte : — C’est nettement mieux comme ça. Et à nouveau, il embrasse mes seins sans oublier à présent mes tétons qu’il mordille, tel un bébé affamé, et tout ceci sous l’œil attentif de mon mari. Sans parler d’une main qui s’en va s’égarer plus bas sur mon pubis puis sous celui-ci. Je sais que je me répète, mais la situation me paraissait étrange, irréelle. N’empêche que j’adore être câlinée de la sorte ! Puis mon mari se lève, et je me retrouve encadrée par deux hommes qui me caressent. Je dois reconnaître que c’est très bon ! Je sens leurs mains avides sur mon corps, leurs présences, leurs chaleurs. Être désirée par plusieurs hommes en même temps, c’est excitant à souhait ! Sans vergogne, mon mari extirpe mieux encore mes seins de mon bustier. Ceux reposent à présent comme carrément présentés à plat sur un plateau. Bien sûr, Éric se fait un plaisir de les toucher aussitôt puis de jouer avec. Durant ce temps, plus incisif et ...
... cruel, mon Maître pince mes tétons déjà bien durs, les étirant, les tordant. Incité par cet exemple, mon séducteur fait de même. — Beaux gros nichons et beaux tétons tout durs, n’est-ce pas ? assène mon mari.— Un rêve ! confirme Éric Puis il capture un téton qu’il suce aussitôt, lentement, suavement ! Puis plus vorace et audacieux, il fait ensuite disparaître aussi mon aréole dans sa bouche, cherchant à dévorer mon sein tout mou et tout blanc ! — Oh le gros méchant garnement ! dis-je faiblement. Mais je me laisse faire, avec ravissement, même si mes pauvres lolos sont malmenés ! Tandis que mes seins sont malaxés, tripatouillés, travaillés, torturés, alternativement, les deux hommes s’occupent de moi, en glissant autour de mon corps, déposant des bisous dans mon cou, mes bras, le bas de mon ventre, mes fesses, mes cuisses, ma fente tout humide. Ça fait franchement du bien d’être désirée doublement de la sorte ! Puis je me retrouve assise sur le canapé, jambes largement écartées, Éric agenouillé entre elles. C’est avec application qu’il commence un bon cunnilingus, sa langue sachant très bien virevolter entre mes lèvres humectées et venir agacer mon clitoris enflammé ! Je serre des poings afin de ne pas me laisser aller trop vite ! L’excitation de la situation, cet autre homme qui me lèche, tout fait que mon désir, mon plaisir, monte trop vite et que j’ai du mal à me contenir ! — Oh oui… encore… Éric m’obéit, sa langue fait des merveilles à l’orée de ma chatte détrempée ! J’ouvre la ...