Année de terminale (17)
Datte: 30/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... réponse "A toi de juger". Je ne sais pas, je n’ai aucune idée de la taille du trou maintenant. Alors, je continue encore. De ma position, je commence à voir mes lèvres intimes. Et je me mets à penser à Paul et à l’exposé. Je pense que la note va dépendre de mon côté salope. Je tire plus fort, le trou devient une fente qui montre tout mon minou, mon pubis et remonte jusqu’à l’élastique au niveau de la taille. Je me retourne, et fait de même pour libérer mes fesses. Je me redresse, me mets à quatre pattes en me cambrant et leur demande, ne reconnaissant presque pas ma voix, la trouvant tellement provocante : • Ca va comme ça ? • Ca semble convenable... Nous avons un petit cadeau pour toi, un peu avant l’heure par rapport à Noël, mais, tu le mérites. Je m’assois sur le bord de la table alors que le prof de math m’apporte une boite. Je l’ouvre et y découvre un gode en forme de verge. Je suis stupéfaite. Je ne me suis jamais enfoncé autre chose que mes doigts ou un vrai sexe dans mon minou. • Ca te fait plaisir ? • Oui. Merci beaucoup. rpgrqqki • Et bien, prouve-le, essaye-le. Je m’allonge à nouveau en le prenant. Ils sortent tous leur téléphone, je sais ce qu’ils vont en faire. Je pénètre doucement le gode dans mon vagin. Il entre, il n’y a pas besoin de lubrifiant supplémentaire. Je commence à le ...
... faire bouger, à jouer avec. C’est plutôt agréable, très même. Mes gémissements doivent leur prouver que le cadeau est apprécié. On me caresse les cheveux, j’ouvre les yeux et découvre une verge bien dure. C’est celle du prof d’histoire géo. Je change un peu de position afin de la prendre et la sucer tout en continuant ma masturbation. J’ai joui avec une bite dans la bouche. Ce n’était pas la fin, chacun a voulu que ma bouche les satisfasse. Alors, j’ai sucé, encore et encore, continuant ma masturbation et m’offrant deux orgasmes supplémentaires durant tout ce moment. Chacun eut sa préférence, libérant sa semence au choix dans ma bouche pour me voir avaler, sur mon visage, mes habits, mon minou. Ils sont tous passé, je reste allongée essoufflée, tenant le gode en moi sans le bouger et jouant avec mon périnée. Je me sens dans un état second, droguée de sexe. Le cours de chimie de l’après midi ne fut que théorique. Pas besoin de me mettre nue sous une blouse, je suis restée habillée tel quel, mon pull, mon legging déchiré, recouverte de sperme. Toujours dans mon état second, ne réalisant pas où j’étais ou ce que je faisais, presque comme dans un demi-sommeil, et enivrée par l’odeur de sperme qui émanait de mon corps, je me suis masturbée en plein court, alertant tout le monde par mes gémissements.