Le séminaire (ou Jenna, l'allumeuse en bottes) (3)
Datte: 10/11/2017,
Catégories:
Hétéro
... mâchoires sont serrées et mes mains agrippent les côtés du canapé. « Oh non ça ne peut pas... Ahhhhhhhh ! » Il pousse lentement jusqu’à ce que chaque centimètre de sa bite massive soit en moi. Il sent ma chatte se serrer comme prise de spasmes. Les mini-orgasmes me rendent folle. Cela ne m’était jamais arrivé avant. Il commence à me bourrer en sortant presque entièrement de ma chatte avant de rentrer d’un grand coup de reins en moi. Il me possède et brise ma volonté de résister. Je suis complètement à sa merci. Les yeux révulsés je suis sa proie. Ses grognements de mâle en rut se mêlent à mes couinements de femme mûre détruite. ° ° ° « Hummm quelle bonne salope, et encore si serrée à ton âge... Regarde-moi ! » lui ordonné-je. Elle a les yeux à demi-fermés, et je me demande si c’est de honte ou de jouissance... ou les deux à la fois. Elle fixe dans mes yeux un regard désespéré, un regard de bête affolée. Mes mains se ferment sur ses cuisses rebondies, gainées de nylon, et ça décuple mon excitation ! Je lui assène des coups de bélier, sortant presque entièrement de sa chatte à chaque fois pour repartir à l’assaut de son corps, défonçant littéralement son utérus de ma grosse queue... si ça continue je vais ressortir par sa bouche ! Je lui lève les jambes, soulève son bassin, me redressant, sans cesser de la limer. Ah comme j’aimerais la baiser attachée, cette salope ! Suspendue par les bras et les jambes et la faire osciller, la faire se balancer comme un battant d’horloge, et ...
... se faire empaler sur ma queue, l’embrocher... comme un jambon, aussi vulnérable et sans défense. Ses fesses sont dans le vide, d’une main je lui claque le cul, trois-quatre claques qui résonnent sèchement et la font gueuler. Je la maintiens en prenant ses cuisses à bras le corps, la maintenant contre mon thorax de ma main gauche, et je lui intime de sucer mon index droit. Elle s’exécute. Alors sans cesser mes mouvements de reins qui la besognent à grands coups de pine, je glisse mon doigt entre ses fesses, trouve sa petite rondelle et force le petit trou... HMMMM il est bien serré ; sa petite rosette résiste, mais elle doit céder sous la pression, et j’enfonce d’une seule poussée mon index... Elle se prend mon doigt dans le cul, jusqu’à la garde ! ° ° ° A ce stade je ne suis plus moi-même. Ces grands coups de bite épaisse et longue m’ont détruite. Je crie, je gémis je me tortille. Les décharges électriques qui parcourent mon corps font que je me tends comme un arc avant de me détendre à nouveau. Le plaisir intense a remplacé la douleur de la pénétration. Je laisse échapper des mots incohérents. Il tient mes jambes au niveau des chevilles au travers des bottes en cuir souple. Son doigt commence à pénétrer mon anus. Je suis trop partie dans ma jouissance pour le retenir. Je reprends un peu connaissance et le regardant dans les yeux je dis : « Oh mon dieu. Tu me ravages, Ahhhhrrrrggggh tu me détruis. Plus vite ! » Il commence à prendre un rythme régulier et ma chatte fait des ...