1. Départ vers l'inconnu


    Datte: 01/07/2021, Catégories: f, fh, ff, vacances, voyage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral fgode, lettre, initiatiq,

    ... où tout le monde me connaissait et où la notoriété de la famille était à chaque instant en jeu. Il fallait donc soit que je casse tous ces murs, soit que je fasse un petit trou et que j’aille m’épanouir ailleurs. Ma décision était prise, j’allais me libérer. Et, pour la première fois, le pantalon de mon pyjama a glissé sur mes pieds libérant ainsi mes cuisses qui pouvaient s’ouvrir au monde. C’était pas mal et prometteur. Ensuite tout s’est enchaîné à toute vitesse. Pour vivre une autre vie, je devais pouvoir vivre sans la moindre contrainte, sans le moindre regard extérieur. J’ai donc décidé de partir loin, très loin. J’ai réservé deux semaines de vacances dans un club anonyme, de l’autre côté de la planète. C’était pas pour rien, j’y ai laissé ma culotte… laisser ma culotte ? Une bonne idée… à creuser… J’ai prévenu maman que je partais quelques jours en omettant bien de lui dire où j’allais exactement. Je ne lui ai pas dit non plus qu’elle ne reverrait sans doute plus jamais sa petite fille modèle et que dans quelques semaines c’est une vraie femme qu’elle aurait certainement devant elle. Le jour du départ est arrivé. Mon sac a été vite fait, mon voyage ayant un but précis, je ne devais surtout pas me donner les moyens de revenir en arrière. Il en allait de notre amour, de notre vie. Outre les classiques affaires de toilette, passeports et cartes de crédit, j’ai pris le strict minimum et surtout de quoi me forger un nouveau personnage loin de la Juliette actuelle. Pas de ...
    ... pantalons, pas de longues robes, pas de tailleurs ni aucun ras du cou. Il ne me restait que les seules affaires que je n’avais jamais mises : les tenues de tennis que tu m’avais offertes : trois tee-shirts, un mini short et deux mini-minijupes. C’est tout. Pour la piscine je n’ai pris que le bas de mon bikini, le haut n’était fait que de deux cages en béton armé raccordées par des bretelles d’autoroute… J’avoue être restée un moment songeuse devant mon tiroir rempli de mes sous-vêtements : que du coton blanc renforcé, que des Petit-Bateau. J’ai pris toutes mes culottes et je les ai balancées dans le sac, non, pas dans mon sac de voyage, dans le sac-poubelle. Les soutiens sont également partis, ma poitrine sait très bien se tenir toute seule. Mon vieux pyjama doudou fétiche a suivi le même chemin, après un adieu déchirant. D’un geste rageur, j’ai fermé le plastique et ai couru l’enterrer dans le vide-ordures non sans avoir fait une petite prière. Le premier pas était franchi. Pour la première fois je n’aurai pas d’excès de bagages, mon sac pèse très exactement trois kilos cent cinquante grammes, le poids de la liberté. Bien sûr pour ne pas choquer la concierge, pour ne pas heurter le voisinage, je suis sortie dans mon tailleur strict bleu marin chignon et sourire figé. Si la pauvre concierge avait su où allait sa locataire chérie… Il fallait que je sorte par une petite porte discrète, ce fut fait. Tout était prévu. Le voyage en train vers la bourgade voisine, le long trajet pour ...
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