Marika 2018 - Les Alpes en camping-car
Datte: 01/07/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Hardcore,
Lesbienne
... phallus magique, m’invite au paradis, grimpant toujours plus haut…La caresse est envoûtante, mon short s’est ouvert, zip cassé ou descendu forcé, il dévoile mon pubis…Romain est comme fou, il me savoure comme une crème, me fait monter en neige, me voici haletante, en plein délire, gémissante, je sens l’orgasme arriver…Il redouble de douceur et de tendresse, il sait ma cadence préférée…Trois doigts en moi, tendrement fichés en pointe remplissent mon vagin, je m’envole avec les aigles en retenant de glatir comme eux.Celui proche de mon point G déclenche l’avalanche, alors je me libère, je coule ma fontaine, pleure mon torrent, il m’accompagne jusqu’au bout à un rythme effréné…Je jouis enfin, vidée, assouvie…Il se calme et m’embrasse en me prenant dans ses bras, impudique sur ce banc dédié à la contemplation…Je relève le zip, abaisse mon pull, récupère mon soutif.Je lui souris, béate… de remerciements…Coquine et équitable, ma main se referme sur son pantalon, là où la bosse est indécente…En remontant vers le camping-car, la forêt nous offre un abri de branchages de sapins…La fellation est immédiate, torride…Le sexe sorti à la hâte disparaît entre mes lèvres, il vibre, pousse, râle, je caresse ses bourses…Je pompe prestement, il y avait urgence…Je le sens durcir encore, ma chatte dégouline de plaisir en ressentant les effets de ma caresse, je le prends dans ma main pour mieux le guider et laisse faire la nature…Il gicle sur ma langue, dans ma bouche, j’aspire, je tête, il ...
... pousse, je lui fais un fourreau, il jouit longuement, ses râles trouant le silence de la forêt interdite devant ce spectacle humain…Le baiser est de feu, trempé de nos effluves…Calmés tous les deux, nous reprenons notre périple vers ce lac, indiqué par ce gentil commerçant, qui ne se doutera jamais que notre chemin a été jonché d’actes sexuels…Nous sommes deux camping-cars après que les pêcheurs soient repartis.Personne d’autre que nous, ne reste à 1500m d’altitude, une eau claire et froide, un ballet de poissons, de canards et de foulques…Nous repérons les environs, un emplacement plat, et dînons tous les deux, après un grand tour de ce lac…Après manger, la nuit est tombée.Nos voisins sont discrets, enfermés, lumière intérieure allumée…Nous décidons de refaire un tour…Lampe électrique, chandail, nous partons vers la droite, à l’envers de notre premier tour.Plus de pêcheurs à respecter, la nature a repris ses droits, ses occupants aussi…Plus d’autres habitants nocturnes, invisibles, tapis, assoiffés sans doute…Nos yeux s’habituent, nous éteignons nos lampes, et restons assis sur un banc, à sonder la lisière de la forêt et le lac sombre désormais…Je pense à Nessie, aux lacs d’Ecosse, aux légendes…Beauté des lieux, tendresse de cet après-midi, il m’embrasse, je lui rends son baiser, blottie entre ses bras…Divers craquements nous parviennent, la faible brise emporte quelques feuilles déjà jaunes…Bruissement discret, la lune perce un nuage, nous reprenons notre tour…Le chemin s’enfonce ...