1. QUI L'EUT CRU XI Françoise se découvre


    Datte: 01/07/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... à talons, des collants noirs transparents, un haut de teinte fuchia, moulant et faisant ressortir sa poitrine comme jamais, on ne l'a jamais vu ainsi accoutrée ! Elle a même changé sa couleur de cheveux ! Se dit-il. Il n'en revient pas de voir ainsi Françoise, sa plus proche collaboratrice depuis tant d'années, le pilier de son service ! S'il ne la connaissait pas, il dirait qu'elle cherche à plaire. En touts cas, l’image de la croupe un peu large, des cuisses un peu fortes gainées de soie noire, et des nichons arrogants ne quitte plus son esprit à présent. Honnête père de famille de quatre enfants de la bourgeoisie locale, il n’est pourtant pas du genre à s’extasier sur le premier popotin qui passe sous son nez. Homme à principes, issu d'un milieu catholique, toujours amoureux de la charmante Bénédicte, son épouse depuis dix-sept ans, une femme d'une classe indéniable, Paul Crouchet se sent aujourd'hui incroyablement attiré par Françoise DUVAL ! Françoise ne parvient plus à travailler. Elle se demande encore comment elle a pu accepter de mettre les vêtements que Stéphane lui a préparés pour aller à son travail ce matin. Même plus jeune, elle s'est rarement habillée aussi court. Elle se revoit ce matin dans la salle de bains. - Mais enfin Stéphane, j'ai l'air de quoi comme ça ? Je ne peux pas partir avec ces vêtements, tu ne te rends pas compte, qu'est ce qu'ils vont penser à l'usine ! C’est pas possible a-t-elle dit lorsqu'elle s'est vue dans la glace. Stéphane s'est alors ...
    ... collé derrière elle pour lui faire sentir sa queue bien dure et a pris ses seins en main qu'il s'est mis à caresser. - Tu vas les faire bander ma chérie, tu vas voir je suis sûr que tu vas aimer ça, lui sussure-t-il à l'oreille. - Mais j'ai l'air de... - Chut...je te l’ai dit c’est important pour moi que tu sois sexy ! Françoise se tortille machinalement sur son fauteuil, son string lui rentre encore dans la fente, elle a décidément du mal à s'y habituer. Stéphane avait raison, elle s'aperçoit qu'elle est encore en train de mouiller, il faut dire qu'elle n'arrête pas depuis ce matin. Même si c'est terriblement embarrassant pour elle, dans le fond, elle réalise que ça lui plaît bien de se montrer ainsi devant des hommes. Elle en vient même à se demander si ce n'est pas en fait depuis toujours dans sa nature. Elle se souvient de l'émoi ressenti, les rares fois où elle a bronzé seins nus à la plage. A l'époque presque toutes les femmes le faisaient, et Jean-Pierre avait insisté pour qu'elle enlève le haut. Elle réalise aujourd'hui qu’elle avait été troublée par certains regards masculins sur sa poitrine dénudée même si alors elle avait voulu se persuader du contraire. Elle a ressenti le même genre de trouble ce matin lorsqu'elle a traversé l'atelier de l'usine pour aller récupérer les relevés d'heures supplémentaires sous les regards éberlués des ouvriers qui la mataient dans sa tenue sexy. Elle revoit encore l'air ahuri de Marcel LAFFONT, un employé qu'elle a toujours connu, ...
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