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L'amour dans les cordes (5)
Datte: 02/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme
... fois ? — Parce que j’avais envie de tromper mon mec. Je venais d’apprendre qu’il me trompait alors …. — OK … je comprends mieux pourquoi ça a été aussi facile. Et du coup t’as aimé ? Sinon tu ne te serais jamais laissé faire quand je suis revenu. — D’après toi ? J’ai vite compris pourquoi t’appelais mon mec « petite bite » en voyant ton engin. A côté, lui, on dirait un enfant. — Et visiblement tu aimes quand …. Aaahh ! Quand je m’en sers ! A-t-il dit au moment où je lui ai empoigné les bourses. — Donc si tu veux tes documents et ceux que je récupèrerai plus tard, il faudra le mériter. — Ok …. Ce n’est pas comme si c’était désagréable à faire. Bon bah moi j’y vais. T’as intérêt à tenir ta promesse sinon …. — Sinon ça voudra dire que tes efforts n’auront pas été suffisants. Il est très vite reparti après ça. Pour la première fois c’est moi qui avais le dessus. Pour paraphraser mon Nounours « Je le tenais par les couilles », au sens propre comme au figuré. Il n’avait pas le choix : soit il retirait sa cagoule, soit il allait devoir devenir le meilleur amant du monde. Très honnêtement, jamais je n’avais eu l’intention de lui donner ce qu’il cherchait en échange de ses performances au lit. Seul le voir à visage découvert m’intéressait. J’avais juste trouvé ce moyen pour m’amuser encore plus. Quand j’ai raconté ...
... ça à Valérie, elle a éclaté de rire. « Ah bah bravo. Ça c’est une vengeance. Tu ne vas pas t’ennuyer s’il est aussi bon que tu le dis ». Voilà ce qu’elle m’a dit. Evidemment je n’avais pas dit à Nounours que je savais pour le repas d’entreprise et qu’on risquait donc de s’y retrouver. Pendant quatre semaines, il est venu me voir. Deux à trois fois par semaines au lieu d’une seule fois avant. A chacune de ses visites, il rivalisait d’ingéniosité et d’imagination …. Enfin d’imagination non car il piochait tout dans les vidéos internet de Teddy mais il se débrouillait bien pour les personnaliser. A plusieurs reprises mes mains se sont rapprochées de son visage mais il savait me les immobiliser et me les attacher. Parfois je me suis même retrouvée saucissonnée, un bout de viande dont il pouvait abuser à loisir. Lors de ces séances j’ai vraiment pris mon pied. J’ai même failli me trahir car il fallait que je n’en fasse pas trop non plus. A la fin de chacune d’elle, j’avais droit à la question qui tue : « Alors, heureuse ? ». Comme je le lui avais promis, il espérait en avoir fait suffisamment pour que j’accepte de lui livrer ce que j’avais trouvé. « C’était pas mal mais pas encore suffisant » était ma réponse. Il repartait frustré à chaque fois mais en même temps ce n’est pas comme si c’était désagréable à vivre.