1. Luce, bourgeoise adultère malgré elle (6) : De la vengeance au plaisir


    Datte: 02/07/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... épaisse d'onctuosité crémeuse. Elle retira son visage interrogeant d'un sourire confus et boudeur un Chaffardon qui croyait rêver. - Madame ! Vous, vous… vous vous moquez de moi ? lança-t-il ressentant l'aveuglement d'un élan d'éblouissement dont il redoutait la précarité. - Ne dis pas de bêtises, Henri ! C'est alors qu'elle entreprit de déboutonner sa veste de tailleur pour faire jaillir sa poitrine qui tendait le soutien gorge écarlate. Elle passa ses mains fines sous les bonnets qu'elle écarta de ses pouces pour faire jaillir ses tétons dardés. - Crois-tu qu'eux savent mentir ? dit-elle en montrant ses mamelons dressés qu'elle savonna de crème en ajoutant avec une voix rauque d'émotion sincère : lèche-les ! Aussitôt, il s'empara tour à tour de chacun des nichons de la belle bourgeoise et les dévora en oubliant les règles du jeu perfide entamé jusque-là. Elle se démenait sous les coups de langue, sous les morsures maladroites, sous les succions profondes, sous la précipitation des doigts palpeurs… Elle poussait des cris de plus en plus stridents qui l'encourageaient dans sa folie désordonnée et terriblement communicative. Luce brûlait sous l'emprise du feu qu'attisait la frénésie du crémier. La sonnerie de la porte du magasin stoppa leur élan qui menaçait de les emmener si loin dans une fornication impossible à assagir. Il s'absenta quelques minutes pour servir une cliente et revint pour conclure au plus vite leur étreinte dangereuse avant le retour de la Solange. Luce ...
    ... était devant lui, haletante d'indécence ; dépoitraillée avec obscénité ; les tétons encore insolemment demandeurs ; ses seins souillés de crème mêlée à la salive et rougis par les succions inconvenantes. - Tu vois dans quel état tu m'as mise, voyou ! Il est temps de sortir ton pinceau. Abasourdi par cette sommation, Chaffardon s'exécuta en ouvrant sa braguette pour sortir une longue queue fine tendue à en trembler. Elle s'approcha de lui et se mit à genoux pour diriger le chibre du crémier entre ses seins toujours gonflés. Il la regardait, prostrée face à sa bite, mais il était incapable d'oser une telle profanation sans son aide. Comprenant les raisons de ses atermoiements, elle dut reprendre le dessus avec son humour aussi caustique que ravageur : - Mon cher crémier, je vais te faire notaire cravaté, lui adressa-t-elle, avec un rire de sorcière lubrique. Joignant le geste à la parole, elle saisit la queue pour l'enfouir entre ses seins qu'elle resserra autour de la longue tige en les pressant de ses mains. Un soupir aussi long que l'engin tendu se perdant entre les coussins élastiques et moelleux lui indiqua que son partenaire atteignait une félicité inconnue de lui jusque-là. - Branle-toi entre mes miches Henri ! l'encouragea-t-elle sur un ton bestial qu'elle ne maitrisait plus. Il la saisit aux épaules d'une poigne incontrôlée et entreprit des va-et-vient de plus en plus obstinés qu'elle subissait en les accompagnant de halètements qui stimulaient l'ardeur du mâle. A travers ...