1. Ma petite Thaï


    Datte: 02/07/2021, Catégories: fh, asie, prost, amour, odeurs, Oral pénétratio, policier,

    ... Survolté par la mise en place du préservatif, je ne fus pas long à jouir. De plus, la chaleur de sa peau, les senteurs de son corps, sa façon de se mouvoir doucement sous moi, tout contribua à faire sauter la soupape et à m’éjecter vers le septième ciel. — C’est qu’il avait une grosse envie le Français ! dit-elle de sa voix haut perchée en gloussant. Sans me retirer, je pris appui sur mes coudes et contemplai son visage légèrement ovale, aux courbes douces. D’un index, je fis le tour de la fente de ses yeux, glissai sur son petit nez, contournai ses pommettes pour suivre enfin la frontière de ses lèvres satinées. Je commentai à voix haute mon érotique voyage. — Dieu que tu es belle ! Dès que je t’ai vue, j’ai eu envie de toi. Tu as l’air si fragile, comme une poupée de porcelaine. Li-Tao me fixait en souriant. — Je ne sais pas ce que tu dis le Français, mais ça a l’air sympa… Tu m’as l’air étrange. Je passai le reste du temps qui m’était imparti la joue contre son bas-ventre, m’enivrant de ses subtiles effluves féminines. Puis, à regret, je la regardai remettre ses vêtements et la raccompagnai à la porte. Avant de disparaître au coin de la rue, elle se retourna et me fit un signe de la main. A partir de cet instant, la belle Li-Tao, ma petite pute thaïlandaise, ne quitta plus ma mémoire. Jour après jour, son souvenir s’imprima d’une façon indélébile dans mon esprit, puis se répandit dans mon sang, dans ma peau, pour, à la fin, coloniser la moindre parcelle de mon génome. Par ...
    ... je ne sais quel miracle, j’arrivai à attendre trois jours avant de me saisir du téléphone et commander à nouveau Li-Tao pour une heure. Nora, ma domestique, me fit part de sa réticence à recevoir une prostituée. J’insistai fermement pour que la jeune femme soit reçue comme une invitée de marque, ce qu’elle fit sans rechigner. Comme la première fois, Li-Tao montra sa virtuosité à placer une capote sur mon pénis avec ses dents. Après mon plaisir, je refis le tour de son visage avec mon doigt, puis, je me hasardai à parcourir ses épaules et ses seins avec ma bouche, jouant de mes lèvres et de ma langue sur sa peau. Je ne rêvais que d’une chose, boire à la source de son plaisir. Hélas, pour le moment, elle faisait son métier… Me donner du plaisir et partir. En fin de séance, je regardai son magnifique corps disparaître sous ses vêtements, et cela se terminait par un petit signe de la main au coin du trottoir. Vous vous en doutez, de plus en plus souvent, je décrochais mon téléphone et ma petite Thaï venait passer une heure chez moi. Outre l’immense plaisir que me procuraient nos relations physiques, j’appréciais tout particulièrement nos conversations à sens unique. Alors qu’à voix haute je lui parlais de la beauté de son corps, du désir qui me tenaillait, Li-Tao s’étonnait de la douceur des gestes que j’avais pour elle, elle faisait beaucoup de commentaires. Malgré tout, après chacun de ses départs, un sentiment de frustration s’emparait peu à peu de moi. J’eus toutes les peines ...
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