1. Découverte


    Datte: 03/07/2021, Catégories: fh, hplusag, médical, vengeance, contrainte, facial, Oral 69, pénétratio, fantastiqu,

    ... charnue et un menton avec une petite fossette. Elle doit mesurer aux environs d’un mètre cinquante-cinq et est assez menue, ce qui fait ressortir sa poitrine plutôt forte. Il hésite. Il se dit qu’il est fou et que de toute manière il ne se passera rien, puis qu’après tout c’est une façon de vérifier ce qu’il en est de cette histoire. Il s’approche et lui pose la main sur le bras en disant : — Je suis désolé. Excusez-moi. Florence continue sa diatribe quelques secondes, puis bafouille un peu, fait un pas en arrière, se trouble, en sentant une bouffée de désir la submerger. Elle voudrait fuir, mais reste clouée sur place. Bernard qui lui aussi la ressent, redevient serein, comme soulagé. Il observe son interlocutrice, mais se garde bien de faire un geste ou dire quoi que ce soit. Pourtant son sexe s’est dressé et il brûle d’envie de se jeter sur elle. Il voit le combat qu’elle mène pour résister. Ce combat, elle le perd. Il se demande ce qu’il aurait fait si elle avait réussi à résister. Il préfère ne pas y penser. Presque comme au ralenti, elle s’approche et bredouille quelques paroles inintelligibles. Brusquement tout s’accélère, elle se jette à son cou pour un baiser enfiévré. Elle y met une telle fougue que sous l’impact, il recule et se retrouve dos au mur. Il n’imaginait pas une telle force en elle. Elle doit peser cinquante kilos et lui plus de quatre-vingts. Elle se dit que c’est insensé, mais il faut que Bernard la baise, là, maintenant ! C’est quasi vital. Elle ...
    ... retire son chemisier, le soutien-gorge suit le même chemin. Elle passe ensuite les mains sous sa jupe et se dépouille de son slip. Elle s’agenouille tandis que Bernard déboutonne sa braguette. Elle n’aurait nul besoin de le sucer, car il est déjà raide, mais le fait malgré tout. Oh ! Pas longtemps, vu qu’elle n’a qu’une idée : se faire prendre. Elle se met à quatre pattes et d’une voix rauque : — Baise-moi, le tutoyant pour la première fois. Il achève de retirer son pantalon et ôte sa chemise. En prenant son sexe pour l’ajuster à celui de la grincheuse qui, pour l’heure est tout miel, il lui semble qu’il est plus gros qu’auparavant. Elle n’a pas non plus besoin de préliminaires. Son con est épanoui et suintant à souhait. Il entre plus aisément que dans du beurre. Et c’est parti pour une chevauchée endiablée. L’archéologue met plus d’enthousiasme à se faire fouiller la chatte, qu’elle n’en met à fouiller un site. Ce qui n’est pas peu dire, car elle adore son travail. Autant pour ce dernier, la délicatesse est de mise, jusqu’à utiliser le pinceau, autant là elle préfère le marteau-pilon et elle est servie. Elle apprécie et elle le manifeste, au point que le gardien arrive, intrigué par le bruit et même un peu inquiet, connaissant le peu de sympathie entre ces deux-là. En découvrant le spectacle, il en reste médusé. Il s’attendait plutôt à les voir s’écharper comme chien et chat. Déjà de voir madame Marpied se faire troncher ainsi lui était inconcevable. Elle est connue pour son ...
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