Découverte
Datte: 03/07/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
médical,
vengeance,
contrainte,
facial,
Oral
69,
pénétratio,
fantastiqu,
... vieux canapé et le pria de s’asseoir à ses côtés. Elle expliqua que son aïeul avait commencé à tenir son journal quand il avait une dizaine d’années en 1900 et qu’il avait poursuivi jusqu’en 1971, quelque mois avant sa mort. Elle ouvrit délicatement un cahier sur ses genoux. C’était tenu au jour le jour, agrémenté de dessins. Celui qu’il voyait commençait au mois de mai 1916 et racontait le quotidien au front. Décidément, pensa Bernard, dans cette famille les pépites historiques abondaient. Ces carnets feraient le bonheur d’historiens et intéresseraient même probablement des éditeurs, non seulement pour le texte, mais aussi pour les dessins. Celui qui les avait faits avait un sacré coup de crayon et en plus, il y avait aussi quelques photos. Il était si pris par ce qu’il voyait qu’il ne s’était pas aperçu qu’il était serré contre Cécile et quand il releva le nez à la fermeture du carnet, il fut surpris de se trouver à quelque centimètres de son visage. Il n’eut pas le temps de mettre une distance plus convenable entre eux que la jeune femme collait ses lèvres aux siennes en un baiser enfiévré. Certes, il trouvait la demoiselle charmante surtout dans la robe portée ce jour, mais la différence d’âge ne lui avait pas fait envisager un rapprochement. Il fut surpris par son initiative à laquelle il ne s’attendait nullement, surtout en connaissant la timidité maladive de la jeune femme. Il ne songea nullement à la repousser et répondit à son baiser. Il ne s’arrêta pas à cette mise ...
... en bouche. Ses mains se montrèrent actives, sans que Cécile s’en offusque. Il eut rapidement la réponse à la question qu’il s’était posée durant l’apéritif : elle n’avait pas de culotte. Sa robe, l’unique vêtement qu’elle portait hors ses chaussures, abandonna ses épaules pour se retrouver en tas sur le sol. Une fois nue, elle entendit ne pas être seule en cet état, aussi entreprit-elle, avec l’active complicité de Bernard de le déshabiller. Quand ce fut fait, il s’assit sur le canapé et l’attira sur ses genoux. Il l’embrassa, la caressa, passant des seins aux cuisses pour finir à son minou. Elle apprécia et le laissa longuement œuvrer avant de se redresser. Elle s’agenouilla au-dessus de lui, saisit sa pine raide et l’ajusta à sa fente. Elle se laissa aller d’un coup et l’épieu se ficha en elle jusqu’à la garde. Elle ouvrit grand la bouche, mais aucun son ne sortit. Elle resta ainsi de longues secondes. Elle déglutit et se mit en mouvement, montant et descendant avec application et régularité, tandis qu’il accaparait ses seins. Elle poursuivit jusqu’à ce qu’il ne puisse plus se retenir et se vide en elle. Le sexe amolli fut chassé de l’étroit fourreau. Ce fut alors seulement qu’il s’aperçut qu’il était barbouillé se sang. Bernard n’en revenait pas. Elle était vierge ! À la voir agir, l’idée ne l’avait pas effleuré. Après l’avoir entraîné dans une salle de bain, Cécile avait entrepris une fellation des plus convaincantes, avant de l’attirer de nouveau en elle. À la suite de ...