1. Nadine 06


    Datte: 03/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... une couche pour personnes incontinentes toujours sans explications. On la plaça, allongée sur le dos, dans une caisse sur une sorte de sac en plastique bleu. On lui en mit un autre sur le ventre puis on lui plaça un masque sur le visage avec des tuyaux pour respirer. On referma la caisse. Elle entendit un vrombissement et sentit les deux sacs se gonfler. Avant de refermer la caisse, on lui avait dit de respirer à fond. Elle eut la présence d'esprit d'obéir et ne comprit qu'après ce qu'on lui faisait. Une mousse plastique avait été injectée dans les sacs. La polymérisation ne dégageait pas beaucoup de chaleur et la température restait supportable. Bientôt, elle sentit les sacs commencer à durcir.. Elle se rappela les conseils qui lui avaient été donnés et gonfla sa poitrine au maximum pour se ménager un volume respiratoire suffisant. Lorsque la prise fut totale, on rouvrit la caisse, on découpa le sac supérieur pour dégager le masque qu'on lui enleva. Elle ne pouvait absolument pas bouger, semblable à une statue. Dans l'espace libéré, on fixa un réservoir d'eau avec une tétine qu'on lui fixa dans la bouche par une sangle. Il lui suffisait d'aspirer pour boire un peu de liquide. A vue de nez, il y en avait à peine dix litres. Pas de quoi aller bien loin La caisse fut refermée et clouée sans un mot puis mise sur un quai de chargement. Un chariot vint la prendre pour la transférer dans un camion. Après un parcours de près de trente minutes, de nouveaux bruits lui parvinrent : un ...
    ... avion qui décollait. Elle pensa que son acheteur n'habitait pas tout près, finalement Une fois installée dans la soute, pressurisée, elle l'espérait, elle s'endormit. Elle perdit complètement la notion du temps dans sa prison noire. Au bout d'un temps qui lui parut infini, l'avion se posa rapidement sur un aérodrome peu fréquenté. Elle sentit qu'on transportait la caisse où elle se trouvait sur un camion plat. Après encore un assez long parcours qui devenait progressivement plus cahoteux et au cours duquel sa provision d'eau vint à s'épuiser, elle sentit le camion manoeuvrer. La caisse fut emmenée à bras d'homme. Elle entendit enfin distinctement l'ordre d'ouvrir la caisse. Elle se trouva brusquement plongée en pleine lumière. Elle ne pouvait rien voir, complètement éblouie. Brusquement, une voix féminine qu'elle avait déjà entendue s'adressa à elle : - Alors, tu as fait bon voyage, petite pouliche? Cette voix? Est-ce que ce n'était pas? Elle cligna des yeux. Elle commençait à distinguer son environnement. . . Elle regarda celle qui lui avait parlé. Oui c'était bien elle, Carmen, la secrétaire de son mari, celle qui avait participé à son dressage, à l'occasion, qui l'avait gardée pendant deux semaines lors d'une absence de Jean avec une rigueur inflexible et sans la moindre trace de compassion pour son sort. Jean lui avait effectivement dit que Carmen était brésilienne ou colombienne, elle ne s'en souvenait plus, mais, ce dont elle se rappelait parfaitement, c'était d'avoir ...
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