FANTASMES DE CLAIRE
Datte: 03/07/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... chez moi. Nue et en mules, je l’ouvre. Il contient mes carcans en cuir et une robe à corselet seins nus à jupe éventail, entièrement transparente et blanche, avec un boléro doré, plus des pinces à seins vibrantes. Le mot qui l’accompagne : Rendez-vous ce soir au club privé « 6996 », dans ta tenue, fardée et parfumée, portes tes pinces et ton bijou d’anus. Sade Sade se trouve dans la capitale. Je passe mon après-midi, à me raser les aisselles, le pubis, la chatte et l’anus, avant de me doucher longuement. Je me gode longuement l’anus avec un vibromasseur gonflable pour me préparer. Je mouille comme une fontaine, d’excitation. Je n’ai nul besoin de me caresser pour me faire jouir. Puis j’insère mon bijou d’anus. Je me farde longuement, me parfume trois fois et j’enfile ma robe à corselet. Je desserre légèrement le corselet et je l'agrafe par-devant en commençant par le haut tandis que je creuse le ventre, ensuite je mets mes mains dans le dos et je tires sur les boucles en plusieurs fois et je resserres progressivement le laçage en partant du haut vers le milieu puis en partant du bas vers le milieu jusqu'à ce qu'il soit parfaitement ajusté et que je me sentes confortable. Je tires alors de toutes mes forces sur le lacet central afin de bien marquer la taille et de l'affiner au maximum. Mes seins nus sont mis en valeur, projetés en avant. Le corset fait saillir mon ventre et cambrer profondément mes fesses nues. Je relève ma jupe, exhibant mon pubis aux petites lèvres peintes ...
... en rouge et aux anneaux dorés. je pince mes seins avec les pinces vibrantes, mes mamelons constamment tendus sont emprisonnés et je mets mon boléro fermé au cou. Je glisse mes pieds nus dans des mules à très hauts talons. Je mets mon collier et mes bracelets à mes poignets. Je me recoiffe. On sonne. C’est César qui vient me chercher. Il m’inspecte. Il ouvre mon boléro pour voir mes seins nus avec mes pinces. Sans mon boléro, j’ai les épaules et les seins nus dévoilés. - Tu es très en beauté, ma chérie. Il m’embrasse langoureusement sur la bouche, tout en glissant sa main entre mes cuisses pour me faire mouiller la chatte. Nous prenons une limousine blanche aux vitres teintées en noir. Je suis assise seule derrière, la jupe relevée, empalée sur un gros gode réaliste dans ma chatte. César m’a retiré mon boléro et il a joint mes mains à mon cou. Nous entrons avec une heure de trajet, dans un mystérieux hôtel particulier. César me bande les yeux et m’aide à descendre de la limousine. Mes mules claquent sur les pavés, puis sur le marbre de l’escalier que je gravis, tenue en laisse par mon collier. Des coups de cravache me sont donnés sur les fesses pour me faire avancer. Après plusieurs portes, César s’arrête. On délace ma robe et on me déchausse. Mes pieds nus reposent sur un tapis en laine. Je suis caressée de toutes parts, on m’embrasse. Prosternée, je suis à nouveau cravachée sur les fesses, sur les cuisses et sur les reins. Je gémis un peu. On me retire le bandeau. Je découvre ...