1. FANTASMES DE CLAIRE


    Datte: 03/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... mon bassin ondule sur le vibromasseur. Je mouille en regardant le supplice de la fille. A son réveil, je lui offre mon anus à lécher, puis je l’encule, en compagnie des invités, offrant mon anus simultanément à l’un d’eux. Ce double plaisir me conduit à un violent orgasme anal. Sir William est fier de moi. Début septembre, à l’aube, je suis réveillée, encore enchaînée à mon lit, les cuisses complètement ouvertes, mes chevilles fixées par des chaînes au plafond, mes mains fixées à mon cou, la bouche débordant de sperme, ainsi que mon anus, par les saillies canines nocturnes. Nathan me détache, me lave et je rejoins nue, pieds nus, la salle pour être marquée et ferrée. A moitié endormie, je suis suspendue dans le vide, toujours les cuisses complètement ouvertes, les bras en l’air, enchaînée à des crochets au plafond. Je porte pendant quelques heures encore mes clochettes à mes grandes lèvres. Un collier de maintien m’empêche de bouger la tête. Il fait sombre. Ma chatte est léchée par les chiens. Je jouis jusqu’à l’orgasme. Les clochettes tintent. Au lever du soleil, je suis lavée, fardée et parfumée. On amène un gros poêle noir et rond dont le couvercle a été ôté, on voit rougeoyer des braises intenses. On me retire les clochettes et on perce mes grandes lèvres, pour poser deux fers, un par lèvre. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un ...
    ... anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Sur une des faces, un S niellé d'or, sur l'autre, mon nom, le titre, le nom et le prénom de mon Maître, et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés. Les ressorts s’emboîtent d’un seul coup. Puis je reçois un bâillon-pénis en bouche. Perdue dans mon épouvante, je sens la main de Lady V sur mes fesses, qui indique où poser les fers, j’entends le sifflement d'une flamme. Une seule abominable douleur me transperce, j’hurle sous le bâillon et raidie dans mes chaînes, et je ne sais jamais qui a enfoncé dans la chair, de mes fesses les deux fers rouges à la fois, ni quelle voix a compté lentement jusqu'à cinq, ni sur le geste de qui ils ont été retirés. A moitié évanouie, je suis livrée à un harem d’étalons qui m’enculent jusqu’à plusieurs orgasmes. Mon pubis se couvre de spermes. Après une heure d’orgie, on me détache. Nathan me porte dans ses bras, me prend aux épaules et aux jarrets, me soulève et m’emporte. Je me retrouve sur le canapé du salon, cuisses écartées, dévoilant mes fers. On me complimente tout en prenant un apéritif. On me nourrit, tout en caressant ma chatte ferrée et mes lettres sur mes fesses. Les fers me descendent jusqu’au tiers de cuisses. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur. Je suis ...