1. Black is beautiful (6) Black in France


    Datte: 04/07/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... région où j’avais passé mon enfance. Temps ensoleillé, nous avons sillonné les chemins, l’un près de l’autre. Plusieurs fois, j’ai eu à lui prendre la main pour lui éviter une chute, ses chaussures n’étant pas adaptées à une telle ballade. Finalement, pour plus de sureté, elle a pris mon bras et tel un joli couple (en tout innocence) nous avons poursuivi notre promenade campagnarde. C’est à la nuit tombante que nous avons rejoint la voiture devant nous ramener à notre Centre de formation où nous logions. Il faisait maintenant nuit noire, et tout en conduisant, j’ai senti une main se poser sur mon genou. Je l’ai accueillie sans réagir poursuivant ma route, attentif à ma conduite. Mais imperceptiblement, je me suis rendu compte que cette main posée innocemment sur mon genou, se trouvait déjà à mi-cuisse, étrange. Au fur et à mesure que nous nous approchions de notre point de chute, la main progressait si lentement, qu’il fallait toute mon attention pour réaliser le but final de sa translation. Nous étions à l’entrée de la ville, sa main toujours posée sur ma cuisse, mais son petit doigt se détachait pour titiller une bosse naissante, située entre mes jambes et qui commençait à se sentir à l’étroit. Aussi, tenant le volant d’une main, j’ai dégagée ma queue tendue vers ces caresses si discrètes. J’ai eu droit à une prise en main totale de ma verge toute heureuse des attentions qui lui étaient prodiguées. Malheureusement, nous étions déjà arrivés à bon port, à mon goût un peu ...
    ... trop rapidement car cette approche tout en finesse et subtilité a été un vrai délice ; heureusement, qu’elle promettait une suite plus intense et plus profonde. Je l’ai accompagnée nuitamment, sans éclairer les couloirs jusqu’à sa chambre et je lui ai dit d’entrer seule et de tirer les rideaux. Je l’ai rejoins, quelle fougue, nous nous sommes retrouvés nus d’un coup. J’envisageais de longues caresses avant d’enfiler ma queue dans son intimité mais, elle, avide de sexe s’est jetée sur lui et l’a englouti, j’étais assis sur le lit, c’est elle qui a mené la danse comme si son vagin avait été privé depuis de long mois de verges actives. Nous avons fait l’amour trois fois, je crois, avec une pause intime. Puis, totalement épuisé, je l’ai laissée à ses rêves nourris de nos ébats pour rejoindre ma chambre. Avec elle aussi, les hôtels nous ont servi de lieu de rendez-vous. Ce que j’aimais, c’est qu’elle m’attendait nue quand j’arrivais dans la chambre après une journée de labeurs loin d’elle. Je pouvais jouir en elle sans crainte, elle prenait la pilule. Un soir, où il n’était pas possible de nous retrouver dans une même chambre, nous sommes allés dans un parc nuitamment et je l’ai prise par derrière et me suis introduit dans son con pas dans son cul, (je n’ai sodomisé aucune de mes conquêtes féminines). J’ai ensemencé le sol de mon sperme car elle n’avait pu prendre sa pilule. Repassant une quinzaine de jours plus tard sur le lieu de nos ébats debout, une plante avait fleuri, je l’ai ...