Chaud et froid
Datte: 30/06/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
fépilée,
Oral
pénétratio,
yeuxbandés,
glaçon,
amourcach,
... autour de son cou pour qu’il puisse aller encore plus loin. Ses va-et-vient se font de plus en plus forts, de plus en plus rapides, sa bouche attrape ma bouche avidement et littéralement il me mange la langue. Je me sens entièrement possédée. Une vague déferle en moi et m’emporte. Je jouis si fort que je le griffe, ma chatte est maintenant comme un volcan, il me ramone encore et encore, je sens ses couilles taper contre moi. Lorsqu’il déverse son jet brulant, il pousse un râle de plaisir. Moi je suis partie sur un nuage et je lui souris béatement. Une vague de bien être m’envahit. Il s’allonge à mes côtés, nous sommes repus mais avons toujours aussi chaud. Nous nous reposons ainsi l’un contre l’autre, reprenant notre souffle et nous endormons enlacés. La chaleur et la soif me réveillent, je me suis assoupie pendant presque une heure. Je me lève pour boire un peu d’eau, le bruit le réveille, lui aussi a soif, il s’étire comme un grand fauve et se lève, va à la cuisine et ramène deux grands verres de jus de fruit bien frais que nous nous empressons de boire. Il me taquine parce que mes joues et ma poitrine ont viré au rouge. Cela m’arrive très souvent lorsque je fais l’amour, je suis embarrassée mais justement il avoue aimer que mon excitation soit visible sur mon corps. Je suis donc tranquillisée et ...
... nous allons prendre une douche pour nous rafraichir. L’eau caresse nos peaux échauffées. Nous nous savonnons mutuellement, consciencieusement, pendant plusieurs minutes. Les paumes de nos mains virevoltent telles des danseuses et ne négligent aucune partie de nos corps. Très vite elles atteignent des endroits stratégiques, tournoient, flattent et caressent. Ma main se pose sur le sexe durci de David, monte et descend tout en caressant son gland avec le creux de la paume. J’ai envie de le goûter, on dirait une fraise bien mûre, n’y tenant plus je m’agenouille pour le prendre dans ma bouche, je l’enserre et le caresse avec mes lèvres, avec ma langue, je le déguste, je le bois. C’est un peu âcre, inattendu. Je garde son sexe en bouche jusqu’à la dernière goutte, jusqu’à ce qu’il reprenne sa taille normale. Il arrête l’eau, je me relève et nous sortons de la douche. Nous nous rhabillons car hélas le temps passe trop vite, sa femme va bientôt rentrer et je dois partir. Lorsque nous sommes blottis l’un contre l’autre j’oublie qu’il n’est pas libre, mais quand sonne l’heure du départ, je redescends sur terre. Je remonte dans ma voiture, un peu perdue et triste. Après l’amour j’ai quelquefois le blues mais ça ne dure pas bien longtemps. La gaité, ma joie de vivre reprennent le dessus, jusqu’à la prochaine fois.